Maurras avait mis en M. […] Ce n’est pas lui qui chassera les poètes de la cité future, car il les goûte avec discernement et tient compte de leur pensée, sans pour cela que sa méthode ou son érudition puissent être mises en défaut.
A côté des synonymes françois, il faut mettre le Traité des tropes, ou des différens sens dans lesquels un même mot peut être pris dans une même langue, par du Marsais. […] On y met en évidence le plus grand libertinage de l’esprit, & la plus grossiere corruption du cœur.
Mon ami, quels soins il faudrait donner encore à ces quatre pages, si elles devaient être imprimées et que je voulusse y mettre l’harmonie dont elles sont susceptibles ! […] Si les ciels, les eaux, les nuées de Loutherbourg sont durs et crus, c’est la suite de sa vigueur affectée et de la difficulté de mettre d’accord, quand on a forcé de couleur quelques objets.
Un jour le désir le prend de connaître la vérité sur Lourdes, et il part, non sans quelque vague et lâche espoir d’y retrouver sa foi perdue, « la foi du petit enfant qui aime et ne discute pas. » Les spectacles auxquels il assiste, la mise en scène organisée par les « Pères de la grotte » en industriels soucieux d’une fructueuse exploitation de leur entreprise, lui font, dès le premier jour, perdre cette naïve espérance. […] Là commençait l’angoisse, le problème torturant où il achevait de sombrer, lui prêtre, avec ses vœux d’homme chaste et de ministre de l’absurde, mis à l’écart des autres hommes96. » Mais l’aube va poindre enfin dans la nuit de son être, car il est parvenu à l’extrême misère spirituelle, aux portes du néant et c’est alors que la délivrance est proche, dont le premier frisson va le faire tressaillir.
L’onde est quelquefois plus mêlée, plus trouble dans son cours ; mais elle sort toujours d’une source profonde et brûlante, dont le poëte a pu dire sans trop d’orgueil : Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal, Fait reluire ou briller mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j’adore Mit au centre de tout, comme un éclat sonore. […] Lors même qu’elle se reporte à son pays natal, qu’elle y retourne en pensée pour répandre des pleurs sur un tombeau et célébrer son jeune devancier déjà mort, le poëte Heredia, elle met pour devise à son chant funèbre deux vers de Lamartine : Le poëte est semblable aux oiseaux de passage, Qui ne bâtissent pas leurs nids sur le rivage.
Par bonheur pour l’aristarque, ses antécédents littéraires étaient irréprochables et le mettaient hors de soupçon ; jusque dans les paradoxes de M.
Qu’un peu de fusion et d’harmonie de ton mette l’accord entre les diverses parties de sa manière, sans pourtant en éteindre aucune.
Cette crainte mettait souvent obstacle à l’originalité du talent, peut-être même pouvait-elle nuire, dans la carrière politique, à l’énergie des actions ; mais elle développait dans l’esprit des Français un genre de perspicacité singulièrement remarquable.
Mieux même encore que les Essais, il est le plus complet et copieux répertoire des tours, locutions et mots que la langue du xvie siècle a mis à la disposition de la pensée.
Sully Prudhomme, de l’École polytechnique et cela ne nous plaît guère de mettre la chimie en chansons.
Vielé-Griffin mit au service de ses concepts.