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2650. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Salammbô par M. Gustave Flaubert. Suite et fin. » pp. 73-95

Je laisse de côté, en ce point, toutes les susceptibilités françaises et les aversions trop promptes de nos critiques dégoûtés.

2651. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Ducis épistolaire (suite) »

Les lettres sont semées de ces jolis paysages si gais, si français, des environs de Marly ou de Versailles, et qu’il nous rend d’un pinceau familier et vrai : « J’espère, mon cher Deleyre, que vous avez encore présent à la pensée tout ce que nous nous sommes dit dans notre longue promenade aux environs de Marly.

2652. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Térence. Son théâtre complet traduit par M. le marquis du Belloy (suite et fin.) »

Quels sont les écrivains attiques en français dont nous puissions comparer sans trop de contresens la diction à celle de Térence ?

2653. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Théophile Gautier (Suite.) »

Il y a des genres tout entiers, réputés des plus français, auxquels il répugne, — et la Tragédie, — et l’Opéra-Comique, — et le Vaudeville ; il mettrait volontiers le pied dessus pour les écraser une bonne fois, s’il l’osait.

2654. (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « M. Émile de Girardin. »

Cet article était le mot d’ordre pour tout Français qui ne s’abandonnait pas.

2655. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Méditations sur l’essence de la religion chrétienne, par M. Guizot. »

Guizot, n’aurait qu’un pas de plus à faire, et il rejoindrait exactement un des plus respectables et des plus savants prélats de l’Église française, j’aurais dit autrefois de l’Église gallicane, M. 

2656. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamennais — Lamennais, Affaires de Rome »

Il fait remarquer le rapport constant qui s’est établi entre le déclin et le retour des vrais principes politiques et des principes religieux pendant le cours de la Révolution française ; le Concordat n’est pas maudit.

2657. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre V. De la littérature latine, pendant que la république romaine durait encore » pp. 135-163

Cher les Lacédémoniens, c’était le mépris de la douleur physique ; chez les Athéniens, la distinction des talents ; chez les Romains, la puissance de l’âme sur elle-même ; chez les Français, l’éclat de la valeur ; et telle était l’importance qu’un Romain mettait à l’exercice d’un empire absolu sur tout son être, que, seul avec lui-même, le stoïcien s’avouait à peine les affections qu’il lui était ordonné de surmonter.

2658. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « La génération symboliste » pp. 34-56

Je parle de ce genre de brasseries aujourd’hui à peu près disparues, véritables lieux de perdition, qu’on vit s’établir et pulluler, dans Paris, au lendemain de 1870, soi-disant à l’imitation des brasseries alsaciennes, mais desservies par d’étranges « Kellnerinnen » et où certains voyaient la main de l’Allemagne, préoccupée de noirs dessins et d’assurer sa domination future, en préparant la corruption et l’énervement de la jeunesse française.

2659. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Bain — Chapitre III : Les Émotions »

On peut invoquer aussi leur mode d’abrogation dont la Réforme et la Révolution française nous ont donné des exemples.

2660. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — Chapitre XIII »

Le Code français a muré cette porte ; il ne lui offre qu’une triste et sombre impasse, pleine de risques et de scandales : un procès en séparation.

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