Je me contente de la constater, car elle me suffit pour expliquer le Pascal sans égal, le Pascal des Pensées.
La première publication de ce mystique singulier, qui a depuis si simplement dit des choses si fortes, il l’intitula : « Pensées raisonnables sur Dieu. » Les phénomènes n’étaient rien pour lui, ce qui explique le prosaïsme de ses tableaux d’un autre monde.
— et Gall l’Allemand, — ce titre suffit pour expliquer la fausseté et le ridicule de son système, que le docteur Renard, en deux ou trois coups de plume, a désarticulé, — et Auguste Comte, et Littré, — la côte d’Adam d’Auguste Comte !
parce que le théâtre ne peut pas dire tout comme le conte), passionne son récit d’une analyse plus passionnée que le récit même dans son acharnement, et cette analyse déchire tout et met tout en pièces fibre à fibre, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus dans cet avare, dans ce vampire de l’or, qui le sucerait et l’avalerait, une seule fibre, une seule fibrille à montrer et à expliquer !
Et le chef-d’œuvre de la prudence, dans le pansement de ces âmes si longtemps athées, était de glisser en n’appuyant pas… Il fallait donc ce hasard d’un jeune homme insurgé en pleine église pour qu’un penseur et un observateur catholique qui se trouvait là eût sa pomme de Newton, cette occasion qui incline le génie du côté où il doit verser, et pour qu’il prouvât, au bout de vingt ans, à la science souffletée de toutes parts par des phénomènes qui la déshonorent, puisqu’elle ne peut les expliquer, que les seules explications qu’il y ait à ces phénomènes c’est la Foi qu’on croyait décrépite, l’antique Foi qui doit les donner !
Le nombre borné de ces poésies qui résument en quelques pièces les inspirations de trente années, et que je ne mettrai certainement pas, moi, sur le compte de ce dessèchement de la veine si commun chez les poètes communs qui n’ont pas en eux la source intarissable du génie, ce très petit nombre m’explique davantage et m’éclaire plus intensément Alfred de Vigny et cette transformation de tout son être qui lui avait fait mettre le doigt d’Harpocrate sur la bouche fermée de sa Muse.
Déjà, et bien avant que Paul de Musset n’opposât à l’Elle et Lui de madame Sand la foudroyante réplique de Lui et Elle, ce premier roman d’Elle et Lui avait été compris, interprété, commenté, expliqué, et on en avait reconnu, ou du moins on avait cru en reconnaître et les sentiments, et les caractères, et les situations !
Paul de Musset n’opposât à l’Elle et Lui, de Mme Sand, la foudroyante réplique de Lui et Elle, ce premier roman d’Elle et Lui avait été compris, interprété, commenté, expliqué, et on en avait reconnu, ou du moins on avait cru en reconnaître et les sentiments, et les caractères et les situations !
Flaubert dans cette École, il y a moyen d’expliquer qu’on y trouve M.
Mais nous avons à discuter la beauté de ses livres et le principe d’esthétique qui explique, selon lui, la beauté des œuvres, et, selon nous, la beauté des siennes.
La parole, Son âme bénit l’Eternel, explique le genre de sa vaillance.