Quel abîme que le cœur humain ! […] Son cœur était bon, tendre et aimant. […] Il a des accents qui partent du cœur. […] Lors son cœur entrait en une pensée douce et amoureuse. […] Ce qu’il y a de plus divin dans le cœur de l’homme n’en sort jamais.
Je l’embrasse, et de tout mon cœur, parce que c’est le bébé d’Yves. […] Son cœur battait comme dans les épouvantes. […] Effrayé, il l’avait retenue sur son cœur. […] Cela signifiait qu’elle lui avait donné son Cœur. […] Le cœur me battait si fort que je crus que j’allais défaillir.
comme alors il sentait son cœur douloureusement oppressé ! […] Son cœur s’ouvrit à Varsovie, où il fut aimé d’une princesse polonaise. […] Une teinte sombre se répand sur les cœurs, les maisons, le ciel et la terre de l’île. […] Son nom était écrit avec des larmes dans le cœur de tous les Français. […] L’évangile des cœurs était retrouvé.
Ajoutez qu’elle semble assez peu favorable à l’élargissement du cœur et de la pensée. […] Elles ont de la fantaisie, de l’esprit et du cœur ! […] Ainsi cette aventure donne satisfaction tour à tour au cœur et à la raison. […] Il n’avait pas de cœur, ce Molière ! […] » Et elle raconte ses souffrances, ses humiliations, et la détresse de son cœur inassouvi.
Il s’appliqua, de tout son cœur, à étudier un ou deux moments de l’histoire des religions. […] Un « messianisme » confus hantait les esprits et les cœurs. […] Toutes ses paroles ont retenti au cœur des générations actuelles. […] Nous sommes fatigués de ces histoires d’amour, où le cœur n’est pour rien. […] Il les sait par cœur.
Il faut que ma langue exhale la colère de mon cœur, ou, à force de se contraindre, mon cœur se brisera. […] Cela n’empêche pas d’avoir du cœur. […] Il est la leçon apprise par cœur. […] Une vague coquetterie se mêle au mouvement très ingénu de son cœur. […] Chrysale a le cœur excellent.
je le sais dans mon cœur. […] Les naturistes possédaient des reins solides ; ils avaient du cœur et savaient se défendre. […] Qu’il chante et qu’il chante encore, avec tout son talent, toute sa tendresse et tout son cœur. […] Malheur à lui, s’il n’a pas dans son cœur les vertus du triomphateur. […] Il faudra donc que ces hymnes nouvelles soient des jaillissements adorables du cœur.
Monteil le savait par cœur. […] Noble jeune homme, quel grand cœur il avait ! […] Mais justement notre Circé comptait sur la légèreté du cœur des mortels. Et surtout du cœur des femmes ! […] Elle les connaissait jusqu’au fond du cœur.
Nous connoissons peu d’Ouvrages aussi solidement pensés, aussi sagement écrits, & plus capables de former l’esprit & le cœur des jeunes gens. […] C’est à la Religion, c’est à votre propre cœur à vous instruire sur tout ce qui tient aux vérités morales. […] En vous parlant, dans un chapitre précédent, des moyens de former votre entendement, je vous ai indiqué nécessairement ceux de former votre cœur. Le vrai Philosophe, éclairé par les vérités qu’il connoît, est sans cesse enflammé par le désir d’en connoître de nouvelles ; s’il réfléchit sur ce qu’il fait, s’il observe bien, s’il apprécie ce qui l’entoure, c’est depuis la combinaison de ce qu’il sait & de ce qu’il voit, qu’il s’éleve à de nouvelles découvertes, ou dans les profondeurs de la Nature, ou dans les replis du cœur humain.
Il ne suffit pas que vos vers soient beaux, dit Horace, en stile de legislateur, pour donner plus de poids à sa décision, il faut encore que ces vers puissent remuer les coeurs, et qu’ils soient capables d’y faire naître les sentimens qu’ils prétendent exciter. […] Mais si le poëte m’expose des avantures, s’il me fait voir des caracteres qui m’interessent autant que ceux de Pyrrhus et de Pauline, sa piece me fait pleurer, et je reconnois l’artisan qui se joüe ainsi de mon coeur, pour un homme qui sçait faire quelque chose de divin. […] Ils ont observé les regles afin de gagner notre esprit par une vrai-semblance jamais démentie, et capable de lui faire endurer que notre coeur s’attendrit sur une fiction. […] C’est un homme doüé d’un jugement sain, d’une imagination prompte, et qui conserve le libre usage de ces deux facultez dans ce boüillonnement de sang qui vient à la suite du froid que la premiere vûë des grands dangers jette dans le coeur humain, comme la chaleur vient à la suite du froid dans les accès de fiévre.
Sa Nuit de Mai restera un des plus touchants et des plus sublimes cris d’un jeune cœur qui déborde, un des plus beaux témoignages de la moderne Muse. […] ; et la chanson : J’ai dit à mon cœur, à mon faible cœur, etc.)