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1638. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 521-526

d’Alembert, dont la modestie n’a pas été sans doute éblouie par ces vers, où on lui prodigue des louanges qu’il doit avoir jugées lui-même très-outrées : Le Philosophe Diogene, A la honte du genre humain, Marchant, la lanterne à la main, Cherchoit un homme dans Athene.

1639. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 202-207

Je ne puis me dispenser, à ce sujet, de blâmer les Ecrivains qui, sous prétexte d’attaquer la superstition…… cherchent à saper les fondemens de la morale, & donnent atteinte aux liens de la Société ; d’autant plus insensés, qu’il seroit dangereux pour eux-mêmes de faire des prosélytes.

1640. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 122-127

Après un rude hiver, un printemps radouci Renaît avec ses fleurs ; il nous faut vivre ainsi, Et chercher les plaisirs aux ennuis tout contraires, Pour retourner après plus dispos aux affaires.

1641. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre III. Partie historique de la Peinture chez les Modernes. »

L’école chrétienne a cherché un autre maître ; elle le reconnaît dans cet Artiste qui, pétrissant un peu de limon entre ses mains puissantes, prononça ces paroles : Faisons l’homme à notre image.

1642. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre troisième. Histoire. — Chapitre III. Suite du précédent. — Seconde cause : les anciens ont épuisé tous les genres d’histoire, hors le genre chrétien. »

Les causes des événements qu’Hérodote avait cherchées chez les Dieux, Thucydide, dans les constitutions politiques, Xénophon, dans la morale, Tite-Live, dans ces diverses causes réunies, Tacite les vit dans la méchanceté du cœur humain.

1643. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre quatrième. Éloquence. — Chapitre premier. Du Christianisme dans l’éloquence. »

L’éloquence de la chaire a cherché sa victoire dans une région plus élevée.

1644. (1761) Salon de 1761 « Peinture — Vien » pp. 131-133

Autour de l’aumônier, des peuples qui s’élèvent sur leurs pieds et qui cherchent à voir la sainte.

1645. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 47, quels vers sont les plus propres à être mis en musique » pp. 479-483

Je suis certain que Lulli n’a pas cherché long-temps le chant de ces vers que dit Medée dans l’opera de Thesée.

1646. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Paul Nibelle »

Or, quand on touche à l’Antiquité, ce foyer froidi d’inspirations éteintes, il faut au moins trouver dans les cendres ces précieux débris que l’amour d’une société finie cherche encore dans la poussière d’Herculanum.

1647. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre I. Objet de ce livre. — Retour de l’âge divin » pp. 357-361

De même au moyen âge, on cherchait toujours à enlever les reliques des cités assiégées.

1648. (1892) Essais sur la littérature contemporaine

L’explication s’en trouve donc d’abord, ou du moins il faut qu’on la cherche partout ailleurs qu’en nous ; et trop heureux sont ceux alors dont l’originalité n’a pas comme fondu dans cette recherche même ! […] Car, tandis qu’il cherchait à surprendre la raison des choses, le flot roulait, roulait toujours, incessamment grossi, de planète en planète. […] Maurice Spronck s’est donc proposé de chercher l’expression de notre « vie intellectuelle contemporaine, et surtout sensorielle et sentimentale, à son degré suprême d’intensité ». […] Le spectacle d’une volonté qui se déploie, voilà l’objet du drame ; et voilà d’ailleurs, si l’on y veut bien songer un moment, ce que nous allons chercher au théâtre. […] Mais la toile est tombée sans que personne pût discerner où l’auteur voulait en venir, et nous cherchons encore ce qu’il a prétendu faire en écrivant Grand-Mère.

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