XXVIII Au moment où j’allais fermer le livre pour rejoindre le camp de ma caravane, que j’avais planté de l’autre côté de la ville, en dehors de la porte de Bethléem, un air de flûte lointain et mélancolique se fit entendre à ma droite sur une des collines nues et déchirées des monts d’Arabie qui encaissent la vallée de la mer Morte.
Le prêtre placé à côté d’elle sur la banquette s’efforçait d’appeler son attention par des paroles qu’elle semblait repousser de son oreille.
L’Anglais s’étonnait de la pureté et de la douceur avec laquelle il parlait l’anglais ; le Français, de son côté, trouvait la langue française très agréable dans sa bouche.
D’un côté, il a l’air très artificiel.
À quoi il est aisé de répondre que ce que ces auteurs perdent d’un côté à être traduits, ils le regagnent d’un autre, et avec usure.
Mais il y a plus ; dans la musique proprement dite si l’on considère telle mélodie qu’on voudra, on aperçoit ceci : elle indique son ton et sa modalité, elle désigne en général son harmonie complémentaire naturelle qui peut être ensuite altérée et compliquée, mais subsiste toujours quant à sa racine ; enfin, en laissant de côté les notes de passage et appogiatures, indépendamment de tout accompagnement ou contrepoint, la mélodie forme elle-même, par ses intervalles, un accord ou une suite d’accords, complets ou incomplets, et indique la racine des autres.
Le grand est le côté par lequel il voyait les choses humaines.
Le roi entendit de tous côtés la voix de ces hommes instruits par une longue expérience des rites du sacrifice, de ceux qui possèdent les principes de la morale et la science des facultés de l’âme, de ceux qui sont habiles à concilier les textes qui ne s’accordent pas ensemble, ou qui connaissent tous les devoirs particuliers de la religion ; mortels dont l’esprit tendait à soustraire leur âme à la nécessité de la renaissance dans ce monde.
» — Horus appuie furtivement du doigt sur le plateau qui s’incline du côté du pardon et de l’indulgence : grâce à ce miséricordieux subterfuge, l’âme en péril est sauvée. — L’Aréopage adopta le vote charitable de sa fondatrice.
En vérité l’absurde est de tous les côtés dans le système de l’invention du langage par l’homme.
» Nous autres, nous avons eu de la chance, nous sommes arrivés, ayant d’un côté Vigny, Lamartine, Hugo, les augustes ; de l’autre, les héritiers des Béranger, des Hégésippe Moreau, des Mürger, toute la friperie de la sentimentalité ; nous avons donc pu nous partager entre l’admiration et le combat. […] Ayant jeté un triste regard du côté du théâtre, le député-poète m’entraîna dans une brasserie silencieuse et put clamer à son aise : — L’influence de Mistral ?