The issue has been slow ; but it is now seen to have been inevitable. […] Deep hidden, but awakenable, but immeasurable ; let no man awaken it. […] 10º “But what is my share ?” […] Yes, and that is but a small item of the matter. […] But whence ?
But so it is. […] But why more credible ? […] But how do we know this ? […] But which of these is cause, and which effect ? […] But we can give no account of the origin of the Permanent Causes themselves.
But so it is. […] But why more credible ? […] But how do we know this ? […] But which of these is cause, and which effect ? […] But we can give no account of the origine of the Permanent Causes themselves.
quel triste sort nous offrez-vous donc sans mobile, sans intérêt et sans but ? […] D’ailleurs, on peut trouver dans la vie un intérêt, un mobile, un but, sans être la proie des mouvements passionnés ; chaque circonstance mérite une préférence sur telle autre, et toute préférence motive un souhait, une action ; mais l’objet des désirs de la passion, ce n’est pas ce qui est, mais ce qu’elle suppose, c’est une sorte de fièvre qui présente toujours un but imaginaire qu’il faut atteindre avec des moyens réels, et mettant sans cesse l’homme aux prises avec la nature des choses, lui rend indispensablement nécessaire ce qui est tout à fait impossible. […] La philosophie ne peut rendre, sans doute, les impressions fraîches et brillantes de l’enfance, son heureuse ignorance de la carrière qui se termine par la mort ; mais c’est cependant sur ce modèle qu’on doit former la science du bonheur moral, il faut descendre la vie, en regardant le rivage plutôt que le but. […] Qu’est-ce donc qu’une destinée qui entraîne avec elle, ou l’impossibilité d’arriver à son but, ou l’impuissance d’en jouir ? […] C’est dans la crise d’une révolution qu’on entend répéter sans cesse, que la pitié est un sentiment puérile, qui s’oppose à toute action nécessaire, à l’intérêt général, et qu’il faut la reléguer avec les affections efféminées, indignes des hommes d’état ou des chefs de parti ; c’est au contraire au milieu d’une révolution que la pitié, ce mouvement involontaire dans toute autre circonstance, devrait être une règle de conduite ; tous les liens qui retenaient sont déliés, l’intérêt de parti devient pour tous les hommes le but par excellence : ce but, étant censé renfermer et la véritable vertu et le seul bonheur général, prend momentanément la place de toute autre espèce de loi : hors dans un temps où la passion s’est mise dans le raisonnement, il n’y a qu’une sensation, c’est-à-dire, quelque chose qui est un peu de la nature de la passion même, qu’il soit possible de lui opposer avec succès ; lorsque la justice est reconnue, on peut se passer de pitié ; mais une révolution, quel que soit son but, suspend l’état social, et il faut remonter à la source de toutes les lois, dans un moment où ce qu’on appelle un pouvoir légal, est un nom qui n’a plus de sens.
Le but dans lequel la fondation a été instituée s’est mieux défini aux yeux des concurrents : ce but est un accord entre la saine morale et la littérature dramatique. […] Le mieux donc et le plus sûr pour tout auteur qui se préoccupe du noble but qu’a en vue l’institution présente, c’est que la pensée morale préexiste dès l’origine de l’ouvrage, qu’elle en domine la conception, qu’elle le pénètre ensuite dans le détail par une intention pleine et droite, qu’on la sente circuler et ressortir à travers les égarements mêmes, les luttes de passions et les aventures qui sont du ressort de la scène. […] Le premier article de l’arrêté ministériel propose une prime de cinq mille francs « à l’auteur d’un ouvrage dramatique en cinq ou quatre actes, en vers ou en prose, représenté avec succès pendant le cours de l’année sur le Théâtre-Français, et qui sera jugé avoir le mieux satisfait à toutes les conditions désirables d’un but moral et d’une exécution brillante ». […] La Commission de l’année dernière pas plus que celle de cette année ne se l’était dissimulé : la grande difficulté littéraire que rencontre l’institution présente, c’est que le but moral qu’elle réclame avant tout puisse tomber d’accord, dans les ouvrages dramatiques d’un ordre élevé, avec toutes les autres conditions de grâce, d’élégance, d’émotion, de divertissement et de distinction légère que le monde proprement dit a droit de son côté d’exiger ; c’est que le but moral, si on l’y introduit, ne s’y affiche pas d’une manière contraire à la vérité des choses ni au goût, et qu’un genre prétendu honnête mais faux, comme en d’autres temps, n’aille pas en sortir. […] Le second Théâtre-Français se présentait en première ligne à l’examen de la Commission ; il s’y présentait par un ouvrage déjà connu de tous et d’un but moral avoué.
De même encore, on avait montré l’effort des hommes pour augmenter leurs joies vainement orienté vers ce but irréel. […] L’individu recherche la volupté qui lui semble son but à elle-même, il veut augmenter son bien-être par la science ; qu’importe si son désir le trompe et exploite son effort, au profit d’autres buts, puisque aussi bien cette forme individuelle qui, sous ce nom de moi, désirait, s’est déjà dissipée pour faire place à un fantôme nouveau et aussi éphémère ? Désintéressé des buts illusoires que s’obstine à convoiter une entité imaginaire, il est donc plus aisé de s’attacher, ainsi qu’on a résolu de le faire ici, aux phénomènes qui, parmi l’écoulement des individus, demeurent à travers la durée sur la scène du monde, à ces fins que réalise le désir humain détourné des objets chimériques pour lesquels il se consume : la vie de l’Espèce et la Connaissance. […] L’esprit s’élève-t-il au-dessus de cette conception contradictoire, il ne trouve un terme et un but à la vie phénoménale que dans la cessation de celle-ci, dans sa résorption en un état d’unité absolue hors de la conscience de soi-même : c’est à quoi aboutissent tous les efforts logiques du souci religieux ou métaphysique, le Boudhisme avec une entière sincérité, le Brahmanisme et le Déisme avec la confusion en Dieu assignée comme but au perfectionnement individuel. […] On ne peut que constater ici, du point de vue nouveau sous lequel on envisage la vie, combien cette illusion est utile à réaliser la fin de connaissance que l’on attribua à l’existence phénoménale, comme le seul but qu’il fût permis de lui prêter.
But this was only to make work for himself, in his private character of a tailor… The acting lion at present is, as, I am informed, a country gentleman who does it for his diversion, but desires his name may be concealed. […] But I was the less surprised at it, when I saw upon her forehead an old fashioned tower of gray hairs. […] They grew thinner towards the middle, but multiplied and lay closer together towards the end of the arches that were entire. There were indeed some persons, but their number was very small, that continued a kind of hobbling march on the broken arches, but fell through one after another, being quite tired and spent with so long a walk. […] The genius making me no answer, I turned about to address myself to him a second time, but I found that he had left me ; I then turned again to the vision which I had been so long contemplating ; but instead of the rolling tide, the arched bridge, and the happy islands, I saw nothing but the long hollow valley of Bagdad, with oxen, sheep, and camels grazing upon the sides of it.
Elle s’empare de vous comme une espèce de dictature, qui fait taire toutes les autorités de l’esprit, de la raison et du sentiment : sous cet asservissement, pendant qu’il dure, les hommes sont moins malheureux que par le libre arbitre qui reste encore aux autres passions ; dans celle-là, la route qu’il faut suivre est commandée comme le but qu’on doit atteindre : les hommes dominés par cette passion sont inébranlables jusques dans le choix de leurs moyens ; ils ne voudraient pas les modifier, même pour arriver plus sûrement à leur objet : les chefs, comme dans toutes les religions, sont plus adroits parce qu’ils sont moins enthousiastes ; mais les disciples se font un article de foi de la route autant que du but. […] Son premier caractère est de voir son objet tellement au-dessus de tout ce qui existe, qu’il ne peut se repentir d’aucun sacrifice quand il s’agit d’un tel but. […] Jamais il ne peut en coûter à l’esprit de parti, d’abandonner des avantages individuels dont on sait la mesure, pour un but tel que cette passion le fait concevoir, pour un but qui n’a jamais rien de réel, de jugé, ni de connu, et que l’imagination revêt de toutes les illusions dont la pensée est susceptible : la démocratie ou la royauté sont le paradis de leurs vrais enthousiastes ; ce qu’elles ont été, ce qu’elles peuvent devenir n’a aucun rapport avec les sensations que leurs partisans éprouvent à leur nom, à lui seul il remue toutes les affections ardentes et crédules dont l’homme est susceptible. […] L’esprit de parti arrive souvent à son but par sa constance et son intrépidité, mais jamais par ses lumières : l’esprit de parti qui calcule n’est déjà plus, c’est alors une opinion, un plan, un intérêt ; ce n’est plus la folie, l’aveuglement qui ne pourrait cesser sur un point sans entrevoir tout le reste. […] C’est une passion sans aucune espèce de contrepoids ; tout ce qui se rencontre dans sa route doit être sacrifié au but qu’elle se propose.
Première leçon Exposition du but de ce cours, ou considérations générales sur la nature et l’importance de la philosophie positive. […] Tel est aujourd’hui, sous plusieurs rapports capitaux, le plus grand et le plus pressant besoin de notre intelligence : tel est, j’ose le dire, le premier but de ce cours, son but spécial. […] (5) Le but spécial de ce cours étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second but, son but général, ce qui en fait un cours de philosophie positive, et non pas seulement un cours de physique sociale. […] Tel est, du moins, le but de ce cours. […] J’ai tenté, dans ce discours, de déterminer, aussi exactement qu’il a été en mon pouvoir, le but, l’esprit et l’influence de la philosophie positive.
But am I sole heir ? […] Do as you will ; but I’ll begone. […] Do but go kiss him. Or touch him, but. […] I’ll not deny’t, but thank you.
. — Comment il impose à la poésie un but moral. — Ses poëmes profanes. — L’Allegro et le Penseroso. — Le Comus. — Lycidas. […] C’est une fête populaire ; je regrette de n’y point trouver les feux de joie, les cloches qui sonnent comme à Londres, et j’imagine qu’on y but à la santé du nouveau roi. […] What wants there to such a towardly and pregnant soil, but wise and faithful labourers, to make a knowing people, a nation of prophets, of sages, and of worthies ? […] Many a man lives a burden to the earth ; but a good book is the precious life-blood of a master-spirit, embalmed and treasured up on purpose to a life beyond life. […] And what I should be, all but less than He Whom thunder has made greater ?