Je crains que ce troisième volume d’une Histoire de Napoléon qui pourrait être définitive, n’ait été rédigé d’une façon un peu expéditive. […] Taine lui a accordé deux lignes dans les cinq volumes de son Histoire de la littérature anglaise.
Mme de Noailles a dû affirmer, en plusieurs volumes, son amour des larges pensées et des haricots verts pour avoir le droit d’y voleter, sautiller.
Il fait entrer en ligne de compte trois grandeurs variables : le volume d’un corps, la densité du liquide où on l’immerge, la poussée de bas en haut qu’il subit.
Au temps de Socrate, s’il était curieux, il allait entendre les disputes et les dissertations des sophistes ; il tâchait de se procurer un livre d’Anaxagore ou de Zénon d’Éléate ; quelques-uns s’intéressaient aux démonstrations géométriques ; mais en somme l’éducation était toute gymnastique et musicale, et le petit nombre d’heures qu’ils employaient, entre deux exercices du corps, à suivre une discussion philosophique, ne peut pas plus se comparer à nos quinze ou vingt ans d’études classiques et d’études spéciales que leur vingt ou trente rouleaux de papyrus manuscrit à nos bibliothèques de trois millions de volumes.
Comme mes articles étaient nombreux, j’ai dû les répartir en deux volumes. […] Voilà le volume en vente. […] J’ai nommé Balzac qui, tout en conservant les moyens artificiels de la publication en volumes, a su créer un monde dont les personnages vivent dans les mémoires comme des personnages réels.
Cette question générale, je la traite à part dans un volume intitulé Rousseau penseur et qui sera publié après celui-ci. […] Ceci est une question d’une certaine importance, dont nous nous occuperons dans une autre partie de ce volume.
La savante Histoire critique de la prédication de Bossuet, par M. l’abbé Lebarcq, elle-même suivie d’une nouvelle édition des Sermons, dont les deux premiers volumes viennent justement de paraître, nous serait sans doute un heureux prétexte à reparler du plus grand des orateurs… Je l’appelle le plus grand, et il l’est, d’autant que les intérêts éternels qu’il agite dans ses Sermons sont eux-mêmes au-dessus de ceux qu’ont remués dans leurs discours les Démosthène, les Cicéron, les Mirabeau… Mais, au lieu de l’orateur, si c’était plutôt l’écrivain qu’on voulût étudier, le livre du P. de la Broise sur Bossuet et la Bible nous en procurerait tout naturellement l’occasion. […] et que, pour une panse d’a qu’il y a de différence entre l’orthographe de leurs deux noms, il nous parût tout à fait superflu de lire les huit volumes in-folio des Œuvres de son homonyme !
Elle se souvient qu’elle a deux volumes dans un vieux sac : le Chemin de l’homme simple au ciel et la Pratique de la piété ; pour se consoler il les épelle, et la pensée imprimée, déjà auguste par elle-même, devenue plus auguste par la lenteur de la lecture, s’enfonce comme un oracle dans sa croyance subjuguée.
Ce sont : 1° la loi du balancement des organes : les animaux ne diffèrent entre eux que par le degré de développement de leurs parties ; lorsque certaines parties reçoivent un grand développement, d’autres, par compensation, deviennent rudimentaires ; 2° le principe des organes analogues : à travers des changements considérables de forme et de fonction, des organes peuvent demeurer analogues, lorsque demeurent et leur position et leurs rapports aux autres organes ; 3° le principe des connexions : quelles que soient leurs variations de volume et la diversité de leurs fonctions, les parties conservent toujours les mêmes positions relatives.
Deschanel dans ses deux volumes d’étude sur Racine et par d’autres avant M.