Pourtant ce n’est qu’à partir d’une certaine époque plus également éclairée, que cette netteté devint habituelle et, on peut le dire, universelle chez tous les bons écrivains, et qu’elle a tout à fait passé dans l’usage. […] Qu’un esprit doux et poli, pénétrant et fin, répandant sur les choses et sur le prochain une raillerie légère universelle, qu’un tel esprit vienne à naître, cela ne suffit pas.
La Géographie universelle, à l’usage des Collèges, par M. […] On aura un plus grand détail dans la Géographie universelle par Dom Vaissette, 1755. quatre volumes in-4°.
Ce n’est pas sans étonnement que nous voyons, dans le Discours préliminaire de la dernière édition du Dictionnaire de l’Académie française, le secrétaire perpétuel reproduire contre l’auteur du Dictionnaire universel cette vieille accusation d’avoir dérobé le travail de ses confrères. […] Nous avons vu déjà comment, jusqu’à nos jours, l’Académie a persisté à ne voir dans l’auteur du Dictionnaire universel qu’un misérable voleur : tant est vivace et profonde la haine des corps constitués !
Il est donc, athée, sceptique, immoral ; c’est une ruine universelle. […] Le but principal de cette leçon est moins de vous dire ce que c’est que la métaphysique, d’en déterminer l’idée que de vous prémunir contre cette habitude universelle de questionner, contre cette impatience de voir défini ce qu’il n’est pas encore temps de définir.
Justin commence l’histoire universelle par placer même avant les Assyriens deux rois puissants, Tanaïs le scythe, et l’égyptien Sésostris. […] Le déluge universel est notre point de départ.
Le fin mot de mon article, c’est que nous sommes dans un 15 avril universel ; en politique, sous M.
Nous ne demandons qu’à rester dans le rôle obscur et d’observateur malgré nous, qui nous a été fait par huit années de secrétariat, ne cherchant pas à nous exhausser sur la tombe du maître, mais ne négligeant rien non plus, cependant, quand l’occasion s’en présente, de ce qui peut servir à éclairer, par quelque point important et lumineux, la biographie de celui qui nous fit son éditeur posthume, son légataire universel, et nous mit en son lieu et place pour la correction et la publication de ses dernières œuvres.
Bossuet, en un mot, n’est ni plus lumineux, ni plus sublime, dans son Discours sur l’Histoire universelle.
Ainsi il y aurait, entre les esprits, des liens électifs plus libres et plus vivaces que cette longue communauté du sang, du sol, de l’idiome, de l’histoire, des mœurs qui paraît former et départager les peuples ; ceux-ci ne seraient pas divisés par d’irréductibles particularités comme l’école historique moderne s’est appliquée à le faire admettre ; la France, l’Allemagne plus encore, dont la littérature est grecque et cosmopolite, aurait conservé intacte une sorte d’humanité générale et large, toute à tous, sensible à l’ensemble des manifestations spirituelles de l’espèce, payant cet excès de réceptivité par quelque défaut de production originale, le compensant en universelle intelligibilité, réduite à emprunter souvent et à ouvrer pour ainsi dire à façon, mais travaillait pour le monde, plutôt foyer de réflexion, de convergence et de rayonnement que flambeau proprement et solitairement éclatant.
Enfin une universelle rumeur, des voix et des sons confus viennent avec violence assaillir son oreille.