La longue agonie sans espérance qui, depuis plusieurs mois, assiégeait l’une des plus glorieuses et des plus brillantes existences du siècle, vient enfin de se terminer ; Walter Scott est mort, vendredi dernier, à sa terre d’Abbotsford.
L’empereur décida que le nouveau contre-amiral passerait, avec le grade de général de brigade, dans l’armée de terre.
Il y a tant de maux sur la terre, cependant, qu’il semblerait que tout ce qui arrive dans le monde, doit être une jouissance pour l’envie ; mais elle est si difficile en malheurs, que s’il reste de la considération à côté des revers, un sentiment à travers mille infortunes, une qualité parmi des torts ; si le souvenir de la prospérité relève dans la misère, l’envieux souffre et déteste encore : il démêle, pour haïr, des avantages inconnus à celui qui les possède ; il faudrait, pour qu’il cessât de s’agiter, qu’il crut tout ce qui existe inférieur à sa fortune, à ses talents, à son bonheur même ; et il a la conscience, au contraire, que nul tourment ne peut égaler l’impression aride et desséchante, que sa passion dominatrice produit sur lui.
Une fois, pour avoir « rapporté », la petite Hélène est jetée par terre d’un croc-en-jambe, et tout le pensionnat lui saute par-dessus le corps en la bourrant de coups de pied.
Ils commencent par croire, — d’une foi étroite et furieuse de fanatiques, — premièrement, que la littérature est la plus noble des occupations humaines et la seule convenable à leur génie ; que les autres métiers, la culture de la terre, l’industrie, les sciences et l’histoire, la politique et le gouvernement des hommes sont de bas emplois et qui ne sauraient tenter que des esprits médiocres ; et, secondement, que c’est eux, au fond, qui ont inventé la littérature.
Le sol tremble quelquefois ; mais les tremblements de terre n’empêchent pas le pied du Vésuve d’être un lieu fort agréable.
Pendant plusieurs générations, les chefs ne se marient qu’avec des femmes germaines ; mais leurs concubines sont latines, les nourrices des enfants sont latines ; toute la tribu épouse des femmes latines ; ce qui fit que la lingua francica, la lingua gothica n’eurent depuis l’établissement des Francs et des Goths en terres romaines, que de très courtes destinées.
Mademoiselle vécut dans ses terres, n’ayant pas la permission de rentrer à la cour.
Tous ces beaux génies vivoient dans la douceur d’un commerce libre & philosophique ; ils s’entr’aidoient à porter le fardeau de la vie, à se consoler des sottises humaines, à conserver sur la terre cette raison saine, ce feu pur & céleste, le partage de quelques ames privilégiées.
Qu’il me suffise de constater que dans le temps tous les éléments de la résurrection de la Grèce existaient à fleur de terre.