Il sait fort bien que le peu de bruit qui se fait autour de ses livres, ce ne sont pas ces livres qui le font, mais simplement les hautes questions de langue et de littérature qu’on juge à propos d’agiter à leur sujet.
Vous savez que je n’ai jamais approuvé le mélange des êtres réels et des êtres allégoriques ; et le tableau qui a pour sujet la publication de la paix en 1749 ne m’a pas fait changer d’avis.
quel sujet a jamais rassemblé dans un même endroit, en pleine campagne, sous les arches d’un pont, loin de toute habitation, des femmes, des hommes, des enfants, des bœufs, des vaches, des moutons, des chiens, des bottes de paille, de l’eau, du feu, une lanterne, des réchauds, des cruches, des chaudrons ?
De l’humeur dont il est, il ne faut pas lui demander son avis sur des sujets aussi frivoles et profanes que la littérature. […] C’est un beau sujet et propre à remplir la longue paix des soirs. […] Les supplices y sont même effroyables : on peut se fier sur ce sujet à la richesse de l’imagination jaune. […] Ma tâche, ici, n’est que d’effleurer les sujets. […] Schnoudi était sujet à des crises de larmes : il pleurait si abondamment qu’on craignait qu’il n’en perdit la vue.
Il serait difficile d’en indiquer le sujet, il est impossible d’en transcrire les titres. […] La comédie de Molière, le Médecin malgré lui, a immortalisé le sujet. […] C’est aussi que les historiens des pérégrinations de Molière ne semblent pas, en général, très sûrement informés de tout ce qui n’est pas leur sujet. […] « J’ai soutenu, disait-il encore, qu’il fallait faire entrer les caractères dans les sujets et non pas former la constitution des sujets après celle des caractères… et qu’enfin ce n’est pas tant la nature que la condition humaine qu’il faut représenter sur le théâtre. » Saint-Évremond a bien vu. La subordination des caractères aux sujets, voilà ce qu’on appellerait justement la formule maîtresse du théâtre de Corneille ; la subordination des sujets aux caractères, voilà l’originalité du théâtre de Molière et de Racine.
Qu’on veuille bien me permettre ici une courte parenthèse à ce sujet. […] Ce critique érudit et consciencieux, qui s’attache à un sujet comme le limaçon à une muraille, vient de commettre la phrase suivante, dans le Moniteur du 31 juillet. […] Hérold ; c’est tout à fait aussi une musique d’opéra-comique, et, comme telle, sujette à de grandes critiques. […] Voici d’abord des réflexions fort sensées, à l’adresse des artistes, que fait sur ce triste sujet M. […] Les marionnettes chargées des principaux rôles, autrefois premiers sujets chez Séraphin, attestaient les nombreux services et les accidents des Odyssées foraines.
Jeudi dernier, 27, l’Académie française a donné le prix de poésie dont le sujet était l’Éloge ou le monument de Molière à un numéro 34 qui est connu d’avance pour être de madame Louise Colet, poëte déjà une fois lauréat.
Émile Faguet Jean Lahor (Cazalis) a, autant qu’il le veut, l’ampleur, la largeur, le vaste regard et la vaste envergure qui conviennent à de pareils sujets.
Nous traçons comme une série de cercles concentriques, de moins en moins vastes, autour du sujet de notre étude.
« Un Souverain, dit-il, n’est pas un homme ordinaire, ni le Trône où il est élevé, la seule distinction qui le sépare de ses Sujets.