/ 2391
1368. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Quatrième faculté d’une Université. Faculté de théologie » pp. 511-518

Il traiterait ensuite des préceptes de l’Église et des peines ecclésiastiques, évitant toutes les ridicules et dangereuses sub1.

1369. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Baudouin » pp. 198-202

Une innocente prolonge sans fin sa toilette de nuit ; elle tremble, elle s’arrache avec peine des bras de son père et de sa mère, elle a les yeux baissés, elle n’ose les lever sur ses femmes, elle verse une larme.

1370. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Le Christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet »

Sans beaucoup de peine et d’efforts, et en restant dans les travaux de toute sa vie, il pouvait conquérir littérairement le nom d’Asiatique et se faire une gloire éclatante et facile, à une époque où l’esprit d’aberration philosophique qui mène le monde s’est engoué de l’Asie, et poétiquement, scientifiquement, politiquement, — de toutes les manières enfin, — en a monstrueusement exagéré la grandeur.

1371. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Deux diplomates »

Ils ont eu, à la longue, assez de cette politique à la suite dont le mot d’ordre énervé ne venait pas d’assez haut pour qu’il fût glorieux d’y obéir ; et l’un des deux est mort, dégoûté, à la peine, et l’autre s’est réfugié dans la vie privée, qui, pour un homme d’État, est aussi une autre manière de mourir !

1372. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Jacques Demogeot » pp. 273-285

Et quand il arrive à Richelieu, le Malherbe politique, il pardonne sans peine ses ridicules d’abbé Cottin au grand Cardinal, pour l’effort qu’il a fait d’organiser la littérature et pour sa volonté de la gouverner comme un État de plus.

1373. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Eugène Talbot » pp. 315-326

Laissons à Villemain la peine de répéter les vieilles sottises de La Harpe, cet homme de goût !

1374. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Laïs de Corinthe et Ninon de Lenclos » pp. 123-135

Cette « probité d’honnête homme » dans une malhonnête femme ne lui a pas paru si sublime, et le trait du dépôt rendu, dont on nous rabat les oreilles, valoir la peine que toute une époque en parlât comme du Qu’il mourût des Horaces.

1375. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XIV. Vaublanc. Mémoires et Souvenirs » pp. 311-322

Encore une fois, la question n’en est pas une pour moi, mais elle vaut la peine d’être posée et débattue encore.

1376. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Léopold Ranke » pp. 1-14

Or, jamais cette impersonnalité exigée par les rhétoriques, rêvée par les niais et jouée par les sournois, ne nous a paru briller plus clairement de sa fausse lumière que dans l’Histoire de France publiée par Léopold Ranke, — le meilleur ouvrage peut-être qui ait jamais été écrit pour prouver que l’indifférence olympienne est la qualité des dieux de marbre qu’on n’invoque plus, mais qu’elle n’est jamais qu’une hypocrisie de la pensée, qui, pour sa peine, — comme on va le voir, — en reste blessée et mutilée presque toujours.

1377. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Silvio Pellico »

Ils ne commueront pas sa peine.

/ 2391