Son traité de l’Existence de Dieu passe pour le meilleur.
Quoiqu’il ne nous soit demeuré qu’une tragedie de cette espece, l’ Octavie qui passe sous le nom de Seneque, nous sçavons néanmoins que les romains en avoient un grand nombre.
Ce poëte nous fait passer par differens dégrez d’émotion, et pour nous rendre plus sensibles au malheur de la victime, il nous laisse imaginer durant un temps qu’elle soit échappée au coûteau du sacrificateur.
Ils ne passent pas du païs qu’ils habitent dans les contrées voisines où l’air nous semble être le même que l’air auquel ils sont si fort attachez.
Mais je me contenterai de renvoïer aux modernes qui ont traité à fonds de la musique harmonique des anciens, afin de passer plûtôt à ce que j’ai à dire concernant leurs arts musicaux, qui sont l’objet principal de ma dissertation.
Notre auteur ne « spécifiant pas », comment un écrivain français tel que Chateaubriand peut passer pour un écrivain étranger, « on ne sait que dire ».
Seulement, dans une société où le sophisme et la lâcheté ont appris à tant de personnes cet art des nuances qui change tout sans faire rien crier, dans une société où la netteté de l’expression passe pour une indécence ou pour une tyrannie, appeler les choses par leur nom est une hardiesse qui doit honorer un écrivain.
Il avait passé en Grèce les quelques années obligatoires pour tout observateur qui ne se résigne pas modestement à profiter des paysages sur les pages innocentes d’un album.
C’est le vice du temps, c’est l’oubli des idées religieuses et l’embarras de faire des livres, qu’on veut faire moraux, en croyant pouvoir se passer de ces idées-là.
Il y a des écrivains très raffinés, très subtils et tellement dans la langue, dans les fils les plus déliés de la langue, qu’en voulant les faire passer dans une autre on ne sait plus ce qu’ils deviennent… Mais les grands poètes, non !