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1601. (1892) Un Hollandais à Paris en 1891 pp. -305

Même la première partie de mon Pèlerin passionné ne me plaît plus : pour moi le livre ne commence qu’à la page où l’influence Romane se fait sentir nettement. […] De toutes les parties du monde cette voix s’élève, partout la même, avec son sens inexhaustible, que tous les siècles à venir sont incapables d’approfondir. […] , dans l’œuvre de Bourget il y a des parties pour lesquelles je n’éprouve pas plus de sympathie que cet auteur clairvoyant n’en a lui-même. […] Mais ce qui me déroute, c’est que cette conformité cause de l’éloignement entre les parties, plutôt que de la bonne harmonie. […] Je l’ai connue dans la dernière partie de sa vie et je vous dirai mes impressions sur elle.

1602. (1885) Les étapes d’un naturaliste : impressions et critiques pp. -302

La partie nord de la vallée s’étend alors, tout entière sous des yeux du touriste. […] La tradition nous rapporte seulement, que le docteur Garcia, — il avait soutenu ses thèses à une date qui n’est pas antérieure à 1621, — conserva l’incognito, pendant une partie de son séjour à la cour, que son renom y était tel qu’il se lia avec tous les poètes du temps. […] Il y en a fort peu, et celles-là même seulement dans quelques parties — qui nous fassent connaître ce qu’était, ce que pensait ou sentait le poète. […] C’est ce que le romancier nous laisse entrevoir dès le premier chapitre de la première partie. […] La montagne de Santander est, aujourd’hui, partie intégrante de la province des Castilles, quoique, géographiquement, elle soit plutôt l’intermédiaire naturel entre le pays basque et les Asturies.

1603. (1895) Le mal d’écrire et le roman contemporain

On rédigera les journaux à coups de dépêches venues des quatre parties du monde. […] Les plus importantes éclosions littéraires ne sont jamais parties de Paris. […] Si, en général, sa critique n’a pas vieilli, quelques parties n’en sont-elles pas démodées ? […] L’effort vers le bien ne fait-il pas partie de notre nature, comme l’entraînement au mai ? […] Personne ne conteste qu’il y a dans l’œuvre de Balzac une partie déjà caduque ; mais il y a aussi des parties qu’aucun écrivain ne pourra faire oublier.

1604. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Appendice. — Sur les Jeune France. (Se rapporte à l’article Théophile Gautier, page 280.) »

Le hasard me fait retrouver une preuve certaine de l’effarouchement véritable que produisit dans le monde même de Victor Hugo et chez une partie de ses premiers amis l’invasion, en apparence barbare, de ces jeunes recrues et de cette génération romantique toute nouvelle.

1605. (1874) Premiers lundis. Tome II « Achille du Clésieux. L’âme et la solitude. »

Victor Hugo offre du vague et un ton mystiquement exagéré dans la partie des reproches ; la fin a de l’onction et de la beauté.

1606. (1875) Premiers lundis. Tome III « Senac de Meilhan »

On donne volontiers raison au prince de Ligne, lorsqu’il disait : « Dans les pensées de M. de Meilhan, il y a des traits de feu qui éclairent toujours, et des fusées qui vont plus haut qu’elles ne font de bruit. » M. de Meilhan s’était exercé, dans la première partie de sa vie, à traduire les Annales de Tacite, une double école de politique et de style.

1607. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 69-73

COUTEL, [Antoine] né à Paris en 1622, mort à Blois, où il avoit passé la plus grande partie de sa vie ; Poëte oublié, dont le Recueil de Poésies a pour titre : Promenades de Messire Antoine Coutel.

1608. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » pp. 540-543

Auroit-il été assez injuste à l’égard de Boileau, pour avancer qu’on ne peut lui refuser toutes les parties d’un grand Poëte, excepté l’invention, si le Lutrin, qui est tout invention, n’étoit un meilleur Poëme* que la Henriade ?

1609. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 5-9

Le Rédacteur de l’article en question n’a pas craint, malgré cela, d’altérer le dispositif de cette Sentence, & de la tourner tout à l’avantage de ma Partie adverse, par la raison qu’elle n’a pas donné lieu, comme moi, à la haine philosophique.

1610. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Préface » pp. 1-3

[NdE] Sainte-Beuve donna à l’Université de Liège, entre le 30 octobre 1848 et le 30 avril 1849, un cours d’« Ancienne littérature », allant du Moyen Âge au xviiie siècle, qui lui fournit la matière de nombreuses causeries, et un cours sur « Chateaubriand et son groupe littéraire », que le critique reprit en partie dans quatre causeries (aux t. 

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