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2403. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Août 1886. »

Kœgel) ; l’école romantique littéraire allemande et ses rapports avec Wagner (A.

2404. (1881) La psychologie anglaise contemporaine «  M. Georges Lewes — Chapitre I : L’histoire de la philosophie »

Pour la curieuse histoire de Laura Bridgmann, nous renverrons le lecteur à Burdach, Traité de physiologie ; Ampère, Revue des Deux-Mondes, 1853 ; et Schroder van der Kolk, Revue des cours littéraires, janvier 1868.

2405. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1856 » pp. 121-159

Ces désespérances, ces doutes, non de nous, ni de nos ambitions, mais du moment et des moyens, au lieu de nous abaisser vers les concessions, font en nous, plus entière, plus intraitable, plus hérissée, la conscience littéraire.

2406. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre IV. Comparaison des variétés vives et de la forme calme de la parole intérieure. — place de la parole intérieure dans la classification des faits psychiques. »

Mais à la différence de Egger, la forme littéraire du monologue intérieur remettra toujours en question la possibilité d’accéder véritablement à une vérité intime.

2407. (1913) La Fontaine « VII. Ses fables. »

Jules Lemaître, qui nous est cher, qui, faisant sa classe, dans sa jeunesse, au lycée du Havre, demandait à ses élèves : « Quel est le génie littéraire, en France, que vous préférez ? 

2408. (1773) Discours sur l’origine, les progrès et le genre des romans pp. -

On a vu plus d’une fois le beau sexe disputer au nôtre quelques palmes littéraires.

2409. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre huitième. L’introduction des idées philosophiques et sociales dans la poésie (suite). Victor Hugo »

Dès ces premiers vers le simple critique littéraire, tout en admirant le mouvement de l’ode, murmurera peut-être : « grandes épithètes, images obscures et incohérentes ;  » mais le philosophe, lui, retrouve toute une doctrine sous chaque mot : « l’insondable au mur d’airain », c’est l’inconnaissable de la métaphysique, qui ferme et mure pour l’intelligence le mystère du monde ; « l’obscurité formidable du ciel serein », c’est une allusion à la doctrine propre du poète sur le jour et la nuit, le jour étant aussi obscur en soi que la nuit même. […] Très facilement pénétrable, peu profond, peu compliqué, obscur seulement (et rarement) par la forme, ses beaux lieux communs, ses dissertations morales, ses larges et riches descriptions, ses narrations éclatantes complaisamment étalées, seront bien compris et goûtés des jeunes esprits. » (Faguet, Etudes littéraires : V.

2410. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite et fin.) »

Mais heureusement qu’il sort de votre studieuse prison des morceaux littéraires que recherchent tous les gens de goût.

2411. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Lamartine — Lamartine, Jocelyn (1836) »

Quant au vicaire (curate), il est admirable et touchant de vérité naïve : sa science dans les classiques grecs ; sa pauvreté, la maladie de sa femme ; ses quatre filles si belles et si pieuses, ses cinq fils qui s’affligent avec lui ; ce mémoire de marchand, entre deux feuillets, qui le vient troubler au milieu du livre grec qu’il commentait dans l’oubli de ses maux ; sa joie simple, triomphante, un matin qu’il a lu au réveil et qu’il annonce à sa famille qu’une société littéraire (il le tient de bonne source) se fonde enfin, pour publier les livres des auteurs pauvres ; toutes ces petites scènes successives composent un ensemble fini qui ne peut être que de Wilkie ou de Crabbe.

2412. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DÉSAUGIERS. » pp. 39-77

On a là tout ce que j’ai pu recueillir de plus intéressant et d’un peu littéraire sur cette imagination riante et cette âme sans replis, sur ce dernier représentant de la gaieté française, et qui en a fait éclater le bouquet final éblouissant.

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