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486. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 109-110

l’Abbé Garnier, leur Continuateur, ne paroît pas avoir connu cet Ouvrage, ou avoir jugé à propos d’en tirer le même parti.

487. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 234-235

A juger de son caractere par sa conduite, il devoit être original.

488. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 279-280

On a aussi de lui un Livre sur l'Art de sentir & de juger en matiere de Goût, dont l'objet est de faire connoître en quoi consiste le Goût qui crée, qui juge, qui admire le vrai & le beau dans les Ouvrages d'esprit, dans les Sciences, les Arts, & les Productions de la Nature.

489. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Eugène Gandar »

Qu’il est difficile de parler devant un public ; et quel public qu’un maître et des concurrents qui vous jugent, l’un avec une raison sévère, les autres avec une bienveillance équivoque ! […] Si nos esprits font ainsi quelque progrès, l’auditoire des lycées et des Facultés et nos maîtres de la Sorbonne en jugeront. […] J’ai regretté particulièrement il y a quelques semaines de n’avoir pas sous la main les Artistes dominicains du père Marchese ; mais je dois me résigner et marcher toujours, toujours courir… Jugez si les désirs et les regrets se pressent dans ma pauvre tête. […] Le même maître qui vient de le juger sans complaisance, avec la précision habituelle à nos écoles, rend témoignage de ses progrès en des termes qui sont à reproduire : « Sa vie de professeur à la Faculté des lettres, m’écrit M.  […] Dufaure jugeait avec le simple bon sens ces études principalement philologiques et grammaticales, études utiles, mais dont on a fait grand bruit dans ces derniers temps, et dont on a exagéré, je crois, la portée, pour ce qui est du moins de notre littérature.

490. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mademoiselle Aïssé »

Ennemie naturelle du chevalier, par cela même qu’elle l’est de sa noble amie, elle leur invente des torts, ils n’en ont d’autre que de la pénétrer et de la juger. […] Sans partager les vues religieuses de son amie, et pensant au fond comme son siècle, il consentait à tout, il se résignait d’avance à tous les termes où l’on jugerait bon de le réduire, pourvu qu’il gardât sa place dans le cœur de sa chère Sylvie , c’est ainsi qu’il la nommait. […] « J’ay fait une espèce de procès verbal sur tout ce qui s’est passé sur cette affaire, que j’ay jugé à propos d’adresser à mon frère, de peur de vous fatiguer par une aussy longue et ennuyeuse lecture. […] Jugez de mon état. […] D’ailleurs peut-être jugez-vous qu’il est à propos d’éprouver de temps en temps jusqu’où va ma patience et ma dépendance.

491. (1925) La fin de l’art

La mode impose l’enseignement et la mode est fondée sur des besoins réels ou factices ; avons-nous à en juger ? […] Légitime, mais qui tient tout de même du phénomème, surtout pour ceux qui, voulant juger les choses par eux-mêmes, sont venus trop tard et auxquels il n’a pu servir son champagne que fort éventé. […] Les magistrats ont jugé que ce n’était pas là proprement l’exercice de la médecine. […] C’est fort bien jugé. […] Il semble, si ces boissons furent, à un certain moment, jugées dangereuses par leur abus, qu’on aurait dû tout au moins tenir compte de l’habitude qu’en avaient les hommes.

492. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 65-66

Que seroit-ce donc si le Public alloit juger leurs freres dignes d’un pareil sort ? 

493. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 270-271

Il est facile de juger que l’Auteur a vu de ses propres yeux ; qu’il a examiné & réfléchi avec soin sur la plupart des objets qu’il présente au Lecteur.

494. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 324

On sent bien que l’exactitude historique y est très-peu observée ; mais tant d’Historiens ont donné des Romans pour des Histoires, que celles de Mlle de la Force, qui n’en ont pas la prétention, ne doivent pas être jugées a la rigueur.

495. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 333

Quelques morceaux de Poésie qui nous restent de lui, font juger qu’il auroit pu figurer avec éclat parmi les bons Poëtes que sa protection fit éclore.

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