J’aurais entrepris à mes frais un écrit périodique destiné à relever toute erreur funeste par ses conséquences dans les livres nouveaux et dans les journaux, ainsi que toute injustice dans les critiques. Mon espèce de journal aurait été libre : je ne me serais pas assujetti à satisfaire le public. […] « Vitruve dit dans sa préface (du moins cela est dans le chapitre vi, du livre II, du Selectæ e profanis scriptoribus historiæ) : « Cæteri architecti rogant et ambiunt, ut architectentur, mihi autem a præceptoribus est traditum, oportere eum qui curam alicujus rei suscipit rogari, non vero rogare. » « On peut voir en dix endroits du Journal de l’Empire même et, entre autres, le 27 juillet 1812, combien l’intrigue est nécessaire aux succès dans la littérature même.
Des lecteurs du Journal des Débats dans lequel écrit M. […] Journal de la Librairie, 1836, feuilleton n° 35, page 3. […] Il faut voir sur M. de Silly l’admirable note de Saint-Simon dans ses additions au Journal de Dangeau, tome X, page 110.
Pourquoi les phrases qui lui sont attribuées, dans le célèbre Journal, sonnent-elles si étrangement à mon oreille ? […] Tenir un journal, c’est toujours se sensibiliser à l’excès. […] Puis il arrive que les journaux nous rappellent qu’il y a cent ans naissait un écrivain, jadis le favori de la renommée, aujourd’hui disgracié. […] Les plus audacieux démissionnent et reviennent tenter leur chance dans cette loterie des journaux où se sont usés tant de brillants esprits. […] Parlant de cette besogne dans une lettre intime, il disait : « Je lave la vaisselle dans les journaux.
On lit ce qui suit dans le journal de L’Étoile, sous la date indiquée : « Notre nouveau roi Louis XIII fut fouetté ce jour par le commandement de la reine régente sa mère, pour n’avoir pas voulu prier Dieu. […] M. s’étant levée, et lui avant fait la révérence, comme de coutume : J’aimerais mieux, va dire ce prince tout brusquement, qu’on ne me fît point tant de révérences, et qu’on ne me fît point fouetter. » (Journal du règne de Henri IV, t.
N’ayant pas le sou, Bernard vole la valise de l’oncle Édouard, qui contient de l’argent et le fameux journal intime, qu’il s’empresse de lire. […] Il reviendra là-dessus dans le Journal des Faux monnayeurs, et s’y déclarera pour le théâtre pur, le roman pur, et la pureté en tout. […] Il y a, d’ailleurs, une foule d’observations tout à fait ingénieuses dans le présent Journal. […] Et les Faux monnayeurs, qu’il a envoyés aux journaux suivant la coutume, sont tout aussi dangereux et immoraux. […] … Le « récit » se compose de deux cahiers ou journaux intimes, dans lesquels le protagoniste parle à la première personne.
Ce livre, ainsi entendu, est la vraie histoire et comme la feuille ou la carte de route des générations qui sont encore en marche ; c’est le journal de l’expédition, écrit à la veille du dernier triomphe. […] …. de l’opposition dans les journaux, des articles ? […] Ce fut lui-même qui rédigea la protestation ; il y mit l’idée essentielle : « Les écrivains des journaux, appelés les premiers à obéir, doivent donner l’exemple de la résistance. » Là était le signal. […] Puisque nous en sommes à refeuilleter ces souvenirs du National, il y a pourtant quelque chose à dire sur la littérature proprement dite et sur la place qu’elle tint dans ce journal influent. […] En général, le ton du journal, à cet endroit littéraire, était chagrin, et la mauvaise humeur dominait.
Le Journal de Trévoux en fit une simple mention. Le Journal de Leipzig 7 inséra un article calomnieux qui lui avait été envoyé de Naples. […] Le principal opuscule est la Réponse à un article du journal littéraire d’Italie. […] Nous avons déjà nommé la plupart des auteurs qui ont mentionné Vico (Journal de Trévoux, 1726, septembre ; page 1742). — Journal de Leipzig, 1727, août, page 383. — Bibliothèque ancienne et moderne de Leclerc, tome XVIII, partie II, pag. 426. — Damiano Romano. — Duni ? […] Réponse à un article du journal littéraire d’Italie où l’on attaquait le livre De antiquissimâ Italorum sapientiâ ex originibus linguæ latinæ cruendâ. 1711.
Le jeune homme sérieux, « l’espoir du siècle », comme disait son ami Stendhal, qui se moquait de tous les pédantismes, n’était pas encore né, ou il était en bien bas âge… Il écrivait dans un journal de petites dames, — La Vie parisienne, — et c’est là que le Graindorge, qui pouvait s’appeler Graindepoivre, fut publié. […] Taine, — du normalien, — du rédacteur du Journal des débats, — du libre penseur, — du matérialiste, — de l’athée, — de tout ce qui, dans cet heureux moment, fait la gloire et la haute position d’un homme, — ce livre sans précédent et sans analogue, ce livre terrible, et qui tombe tout à coup sur la Révolution, quand la Révolution triomphe… J’ose même dire qu’en aucun temps pareil livre ne s’était vu. […] Taine ait eu jamais, depuis ses débuts, un journal contre lui. […] Ils le vantaient outrageusement, croyant par là se l’attacher, quoiqu’il ne ressemblât nullement aux gens de ce temps à compères, qui cultivent les journaux et composent leurs salles de spectacles avec un talent supérieur à leurs pièces… Toute leur vie, ils l’avaient regardé comme un gros canon de leur arsenal, un gros canon qui — politiquement — n’avait pas tiré encore, mais qui tirerait, à coup sûr. […] Le Paris politique, le Paris des assemblées, de la tribune et des journaux, le Paris de l’émeute et des prisons, pour les crimes duquel ils ont toujours cherché une monstrueuse innocence dans les résultats politiques obtenus, si chers à leur orgueil !
Le journal le Commerce qu’il essaya de patronner un moment, en 1844, n’a laissé aucune trace ni aucun souvenir. […] Plusieurs revues et journaux de toutes nuances ont fait de cet ouvrage de grands éloges, en même temps que le Moniteur officiel publiait des articles qui tendaient à en faire la critique. […] Lorsque son livre de la Démocratie parut, j’en écrivis quelques mots d’éloge que je fis insérer dans le journal le Temps, dirigé alors par M. […] Tocqueville m’adressa à ce sujet la lettre suivante, qu’un hasard me fait retrouver : « Je viens de lire, Monsieur, dans le journal le Temps d’hier, un article de vous dont il me tarde de vous remercier.
— Les journaux du lundi 8 juillet 1867 ont publié presque tous, la note suivante : « Depuis quelques jours, M. […] Cette interruption fut relevée le lendemain dans les journaux par M. […] Le journal la France, du 9 juillet, ayant publié les lettres que lui a communiquées M. de Heeckeren, on croit devoir les joindre ici. […] La lettre suivante, écrite peu de jours après ces divers incidents, et publiée dans les journaux, eut alors un grand retentissement ; elle a été souvent reproduite depuis et est restée comme une page célèbre.