On comprend si peu cette loi, que j’ai vu souvent des gens ne pouvoir revenir de l’étonnement que leur causait l’extinction de géants de l’organisation, tels que le Mastodonte ou le Dinosaure, comme si la seule force physique suffisait à donner la victoire dans la bataille de la vie.
Que les documents géologiques soient incomplets, chacun l’admet ; mais qu’ils soient incomplets au point que ma théorie l’exige, peu de gens en conviendront volontiers.
Mais rien ne prouve que ce phénomène, quand on le trouve précis, complet, nettement analysable en perception et souvenir, quand surtout il se produit chez des gens qui ne présentent aucune autre anomalie, ait la même structure interne que celui qui se dessine sous une forme vague, à l’état de simple tendance ou de virtualité, dans des esprits qui réunissent tout un ensemble de symptômes psychasthéniques.
Si vous vous endormez au milieu de gens qui causent, vous trouverez parfois que leurs paroles se vident peu à peu de leur sens, que les sons se déforment et se soudent ensemble au hasard pour prendre dans votre esprit des significations bizarres, et que vous reproduisez ainsi, vis-à-vis de la personne qui parle, la scène de Petit-Jean et du Souffleur.
On reconnaît que l’auteur parle à des gens d’Oxford, laïques ou prêtres, élevés dans les disputes d’apparat, capables d’attention obstinée, habitués à digérer les livres indigestes. […] Des gens si cultivés auraient inventé avant toute chose les culottes et la pudeur.
vous les gens, les vieilles gens, Qui regardez passer dans vos villages Les empereurs et les bergers et les rois mages Et leurs bêtes dont le troupeau les suit, Allumez d’or vos cœurs et vos fenêtres Pour voir enfin, par à travers la nuit, Ce qui depuis mille et mille ans, S’efforce à naître. […] Il a suffi que l’eau fût boueuse pour que ces gens se crussent pourvus d’un pays assez solide.
Il lut des fragments de cet ouvrage, le soir même du 18 fructidor, au sein d’une société littéraire de très-jeunes gens, dont MM.
Peut-être tu ne sauras pas me lire couramment, mais tu ne manqueras pas de gens qui t’aideront à déchiffrer l’écriture de ton vieux papa.
Je ne vois pas moins familièrement les gens de lettres qui sont venus avec Cratippus.
« Vous savez ainsi que moi », écrivit l’ambassadeur français au Directoire, « que personne à Rome n’a donné d’ordre de tirer ni de tuer qui que ce fût ; le général Duphot a été imprudent, tranchons le mot, il a été coupable. » Il y avait à Rome un droit des gens comme partout.