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625. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

Très élégante, d’ailleurs, la « boulange » de Paris. […] Mais d’ailleurs, outre que Tartuffe est ici un étonnant poète baudelairien (ô Molière, vous en doutiez-vous ?  […] Sait-on d’ailleurs, chez ces grands politiques, où finit la sincérité et où commence l’artifice ? […]D’ailleurs, c’est une femme absolument distinguée. […] D’ailleurs, si M. 

626. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article »

Il est d’ailleurs écrit d’un style pur & souvent élégant ; on désireroit seulement qu’il fût un peu plus varié.

627. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 478

D’ailleurs, son Art de communiquer ses idées, son Essai sur la santé, & son Ventriloque peuvent être regardés comme des Productions qui ne sont point étrangeres à la Littérature.

628. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Roland de la Porte  »

Mais il faut avouer aussi que le genre est facile et que des artistes d’un talent médiocre d’ailleurs y ont excellé.

629. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Histoire du Consulat et de l’Empire, par M. Thiers. Tome xviii » pp. 84-92

Ici d’ailleurs, avec la Restauration, c’est le régime plus ou moins combattu et contrarié, mais enfin c’est le régime et le règne des assemblées qui s’inaugure ; et M.  […] Thiers, qui d’ailleurs se montre si attentif à en signaler les parties recommandables, notamment le rétablissement des finances dû au baron Louis, est plus sévère que M. de Viel-Castel au sujet des négociations diplomatiques, et sur le chapitre de M. de Talleyrand au congrès de Vienne.

630. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « George Sand — George Sand, Lélia (1833) »

En passant d’ailleurs à l’état de représentation idéale et de symbole, les personnages ou les scènes, dont la première donnée était, pour ainsi dire, à terre, n’ont pu éviter, au moment indécis de leur métamorphose, de revêtir un caractère mixte et fantastique qui ne satisfait pas. […] Lélia, d’ailleurs, est un ouvrage une fois fait ; il n’est pas à craindre que l’auteur continue cette manière et donne suite à ce genre.

631. (1874) Premiers lundis. Tome II « Des jugements sur notre littérature contemporaine à l’étranger. »

Comme ce n’est pas du tout ici une défense systématique ni patriotique que nous prétendons faire, nous laisserons dès l’abord le chapitre des drames qui, d’ailleurs, composés la plupart pour les yeux, sont plus dans le cas d’être jugés à une première vue, même par des étrangers qui ne feraient que passer. […] Ce sont là matières graves et discrètes, auxquelles d’ailleurs la défense, selon moi, nuirait presque autant que l’attaque, si cette défense se prolongeait et devenait une thèse opposée à une autre thèse.

632. (1874) Premiers lundis. Tome II « Poésie — Alexandre Dumas. Mademoiselle de Belle-Isle. »

Je ne l’oserai dire, et peu de gens d’ailleurs s’en soucient. […] Molière, d’ailleurs, en son temps, n’était pas si chaste.

633. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVI. De l’éloquence et de la philosophie des Anglais » pp. 324-337

D’ailleurs sous une monarchie absolue, on pouvait, comme Rousseau l’a fait dans le Contrat social, vanter sans danger la démocratie pure ; mais on n’aurait point osé approcher des idées plus vraisemblables. […] D’ailleurs., le gouvernement représentatif resserrant nécessairement, et le cercle des objets que l’on traite, et le nombre de ceux auxquels on s’adresse, l’éloquence de Démosthène n’aurait pas de proportion avec l’auditoire et le but : les témoins comptés et connus qui environnent de près les orateurs anglais, la table sur laquelle ils marquent, par un geste uniforme, le retour des mêmes raisonnements, tout leur rappelle un conseil d’état plutôt qu’une assemblée populaire ; tout doit les ramener à ne se servir que des armes du sang-froid, l’argumentation ou l’ironie55.

634. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface de « Ruy Blas » (1839) »

Les femmes, l’action intéresse d’ailleurs, sont si absorbées par les développements de la passion, qu’elles se préoccupent peu du dessin des caractères ; quant aux penseurs, ils ont un tel goût de voir des caractères, c’est-à-dire des hommes, vivre sur la scène, que, tout en accueillant volontiers la passion comme incident naturel dans l’œuvre dramatique, ils en viennent presque à y être importunés par l’action. […] La foule qui se presse chaque soir devant cette œuvre, parce qu’en France jamais l’attention publique n’a fait défaut aux tentatives de l’esprit, quelles qu’elles soient d’ailleurs, la foule, disons-nous, ne voit dans Ruy Blas que ce dernier sujet, le sujet dramatique, le laquais ; et elle a raison.

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