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2630. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre premier. Les caractères généraux et les idées générales. » pp. 249-295

Depuis un an, tant de personnes sont mortes en France.

2631. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIe entretien. L’Imitation de Jésus-Christ » pp. 97-176

Ils se promettent sa mort, s’il retourne en France.

2632. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 8 juillet 1885. »

  Les concerts étant arrêtés, à Paris et en France, durant tout l’été, aucune audition wagnérienne ne paraît pouvoir être notée ; les œuvres de Wagner sont, pourtant, encore exécutées à Paris, et les deux faits Wagnériens suivants, montreront l’expansion sans cesse plus grande, parmi nous, de l’œuvre Wagnérienne : 21 juin : Inauguration du cabaret du Chat Noir : Romance de l’Etoile, par M. 

2633. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VI »

En France, les musiciens manquent de conscience et de science, mais sont brillants, agréables, flatteurs ; ils amusent.

2634. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1860 » pp. 303-358

Musée Lichtenstein… Quatre Chardin, dans une tonalité plus chaude, plus bitumeuse, que ceux que je connais en France.

2635. (1856) Cours familier de littérature. I « IIIe entretien. Philosophie et littérature de l’Inde primitive » pp. 161-239

Il s’est formé depuis quelque temps, dans notre Europe, en Allemagne et surtout en France, une école de philosophie bien intentionnée, mais un peu trop superbe.

2636. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Edgar Poe »

Présenté au public français par un traducteur de première force, Charles Baudelaire, Edgar Poe cessa tout à coup d’être, en France, le grand inconnu dont quelques personnes parlaient comme d’un génie mystérieux et inaccessible à force d’originalité.

2637. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

Dans un État purement monarchique, tel que la France, une maîtresse avare ou dissipatrice ruine le peuple. […] Erreur, monsieur l’abbé98 ; vous les laisseriez tout comme un autre, et là, vous édifieriez à la mode du pays, comme vous édifiez ici à la mode du vôtre. » Ce n’est plus en France, c’est à Cochin que je vous place, et je vous dis : « Dans ce pays, les prêtres ont persuadé au peuple et au souverain qu’une de leurs prérogatives est de faire goûter aux jeunes mariées les premiers plaisirs douloureux de l’hymen, et vous vous persuadez peut-être que vous vous refuseriez à cette œuvre pie. […] En France, ce ne fut ni dans la magistrature, ni dans l’art militaire, ni dans les académies, ni parmi le peuple, que Molière alla chercher le modèle de l’hypocrite. […] Voulezvous entendre les gémissements de la France ?

2638. (1906) La rêverie esthétique. Essai sur la psychologie du poète

À la fin du XIXe siècle, en France, la poésie se charge d’images, de représentations concrètes ; certaine école affectera même d’en éliminer la pensée, et se complaira dans des séries d’images juxtaposées sans aucun lien logique. […] En France même, actuellement, le poète dispose d’un grand nombre de combinaisons rythmiques, qui chacune ont leur expression particulière. […] Et c’était aussi le principe du vers gréco-latin, où deux syllabes brèves pouvaient tenir la place d’une longue, de telle sorte que le vers conservât sa cadence régulière quel que fût le nombre total de syllabes émises. — Je n’ai pas à établir pour quelles raisons le premier système a prévalu dans la prosodie moderne, et s’est définitivement imposé en France, au point de faire disparaître de notre vers toute combinaison rythmique fondée sur la quantité des syllabes.

2639. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Théocrite »

En France, l’idylle bucolique, est-il besoin de le remarquer ?

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