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1375. (1909) Nos femmes de lettres pp. -238

Il veut la jeter dans le giron de l’Église, l’associer à la communion des Saints.

1376. (1856) Le réalisme : discussions esthétiques pp. 3-105

Voir les curieuses peintures de l’église Saint-Étienne-du-Mont.

1377. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 3665-7857

Du nombre des premieres est celle-ci, qu’on ne croiroit jamais avoir été faite sérieusement, & qu’on a vûe cependant gravée dans une de nos églises : Ci gît le vieux corps tout usé Du Lieutenant civil rusé, &c.

1378. (1895) Nos maîtres : études et portraits littéraires pp. -360

Avertissement Ce livre n’est, en vérité, qu’un recueil d’articles publiés en divers endroits, et que je me suis borné à transcrire tels, ou à peu près, qu’ils avaient paru dans leur temps. Quelques-uns datent des années lointaines où, dans les cafés du Quartier Latin, je perdais ma jeunesse à vouloir résoudre les insolubles problèmes de l’art et de la vie. D’autres sont plus récents : on ne s’étonnera pas s’ils portent la trace de sentiments et de goûts nouveaux. Mais pour différents qu’ils puissent sembler d’esprit et de style, ces articles ont entre eux ce trait commun qu’ils sont tous des hommages aux maîtres dont j’ai le plus vivement subi l’influence. Et l’influence de ces maîtres n’a pas agi sur moi seul.

1379. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

C’était… dans une église ; vous étiez alors bien tourmenté… Oh !

1380. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre III. La Déformation de l’Idéal classique (1720-1801) » pp. 278-387

Et on consultera enfin, à un point de vue plus général : Damiron, Mémoires pour servira l’histoire de la philosophie au xviiie  siècle, 1858-1864 ; — Lanfrey, L’Église et les philosophes au xviiie  siècle, 1855 ; — Ernest Bersot, Études sur le xviiie  siècle, 1855 ; — Barni, Histoire des idées morales et politiques en France au xviiie  siècle, 1865-1866 ; — et H. 

1381. (1905) Propos littéraires. Troisième série

Il n’a été vraiment fier que d’une chose, c’est d’avoir renoncé à l’Église catholique quand il a senti qu’il ne croyait plus. […] La compassion que ces bonnes gens me témoignaient, leur chant grave et antique, les troupes de femmes et d’enfants qui remplissaient l’église, en me regardant de leurs grands yeux tristes : tout cela faisait un ensemble touchant, profond, simple et bien analogue à elle.

1382. (1874) Histoire du romantisme pp. -399

Il avait l’intuition de ce qu’il n’avait pas vu, et il aurait juré avoir déjà parcouru ces villes flanquées de tours et de murailles à moucharabys, défendues de donjons, surmontées d’églises aux flèches ajourées où il mettait le pied pour la première fois. […] Bien des décorateurs lui envieraient cette qualité étrange de créer des donjons, des vieilles rues, des châteaux, des églises en ruine ; d’un style insolite, d’une architecture inconnue, pleine d’amour et de mystère, dont l’aspect vous oppresse comme un cauchemar.

1383. (1907) Propos de théâtre. Quatrième série

Il confond avec Viroflay. » — Mais s’il vous plaît, du temps de Musset il y avait une prairie, une grande prairie à la pointe de la Guidecca, avec des guinguettes de faubourg, et une petite église dédiée à san Biago (saint Blaise), et c’est ainsi que s’expliquent et que se justifient très exactement les vers précédents et ceux aussi de la « Chanson » : À Saint-Blaise, à la Zuecca, Dans les prés fleuris cueillir la verveine À Saint-Blaise, à la Zuecca. […] L’église, là-haut, montre son clocher Où tourne en grinçant un vieux coq de fonte Qu’un vent un peu fort pourrait décrocher.

1384. (1893) Alfred de Musset

rendez-moi mon amant, et je serai dévote, et mes genoux useront le pavé des églises ! 

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