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17. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « Conclusion »

En dehors de cette école, il cite Georges (de Rostock), Lazarus (de Berne), Fichte fils, Ulrici, Beneke. etc., comme lui ayant fourni des matériaux. […] Ces solutions écartées, l’école donne la sienne. […] Au rapport de succession se rattache une notion importante, celle de cause, ou, comme dit l’École, de séquence ; elle n’en est qu’un cas particulier. […] L’hypothèse d’un pouvoir efficace formant entre eux un lien mystérieux, est une complication imaginaire, en tant qu’on s’en tient aux causes phénomènes, comme l’École entend le faire. […] L’étude des phénomènes affectifs, émotions, sentiments, est assez incomplète, avons-nous dit, dans l’école expérimentale d’Angleterre.

18. (1870) La science et la conscience « Chapitre I : La physiologie »

C’est donc derrière une objection vaine que se retrancherait l’école spiritualiste. […] Vulpian n’a fait qu’indiquer la méthode, un autre physiologiste de la même école, M.  […] Telle est la grande erreur de l’école physiologique. […] Pourquoi toute une école de physiologistes, parmi lesquels on compte M.  […] Déjà l’école des animistes avait eu l’intuition de cette vérité.

19. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Détruisez… car, nous l’espérons, vous n’allez pas vous en tenir à la matérielle et grossière doctrine de cette brutale école historique. […] L’école historique, cela est évident, annule la critique littéraire. […] L’école historique ayant fait de la critique une science, tout le monde peut sans art et sans génie, faire avec du travail un bon livre, intéressant et utile, dans le système de cette école. […] Seulement, je souhaiterai à cette terrible école un peu moins de férocité. […] La Critique de l’École des femmes, scène dernière.

20. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205

. — Molière met au théâtre L’École des femmes. — Observations sur cette pièce.   En 1663, Molière mit au théâtre L’École des femmes. […] La Critique de l’École des femmes, qui avait été plus justement intitulée Apologie de l’École des femmes contre la critique, porte sur une étrange doctrine. […] Dans le temps de L’École des femmes, la bonne compagnie n’avait d’autre tort que celui d’exercer son droit de blâmer. […] Uranie, La Critique de l’École des Femmes, scène iii.

21. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Eugène Gandar »

En 1844, il entrait à l’École normale, où M.  […] Il sortit de l’École avec le titre d’agrégé des Lettres, et le premier à la tête du concours. […] L’École d’Athènes depuis a voulu davantage ; elle a élargi son programme et a su le remplir. […] Ce renouvellement des plus sensibles, l’École d’Athènes et son influence l’ont déjà opéré en partie. […] L’École normale, qui était restée un peu froide pour lui en 1861, demanda en dernier lieu à suivre son cours.

22. (1932) Les idées politiques de la France

L’école laïque, ou la laïque, c’est l’école de l’instituteur et de l’institutrice. […] De même que l’école laïque oppose sa conception du monde à celle de l’école religieuse, de même l’école unique oppose sa conception de la société à celle de la bourgeoisie. […] Mais autant qu’école dirigeante, direction par l’école. […] À l’école de l’unité par l’unité de l’école. […] La culture est individualiste, l’école est conformiste, l’école, toute école, est un système de conformisme.

23. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. LOUIS DE CARNÉ. Vues sur l’histoire contemporaine. » pp. 262-272

Ce dernier point constituait, à proprement parler, le seul but pratique de cette école. […] Cette école, dans sa nuance exacte, ne se rattache directement ni à M. de Chateaubriand, ni à M. de La Mennais, ni à la tentative de la Gazette de France. […] Le livre de M. de Carné, qui nous fournit l’occasion de ces remarques, met parfaitement en lumière toutes les pensées politiques, les jugements, les espérances et les doutes de cette école dont il est l’un des principaux soutiens. […] Si son mode de raisonnement et de distinction, dans lequel domine toujours quelque chose de mixte, paraît se ressentir, chemin faisant, de la méthode doctrinaire, M. de Carné, du moins, ne tombe jamais dans les abstractions finales et l’espèce d’équation sans issue où s’est enfermée cette école. […] Les noms propres définiront encore mieux ces nuances d’écoles et d’opinions.

24. (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre IV. Critique »

L’école romantique n’a point imité Shakespeare. […] L’école dit : C’est le peuple. Et nous, nous disons : C’est l’école. […] L’école hait Shakespeare. […] Mets-la à l’école de l’honnête.

25. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. » pp. 307-327

Ce volume est né aux Roches, c’est-à-dire en un lieu riant et champêtre qui a eu son influence sur l’école poétique moderne, et dans lequel cette école à son tour a trouvé des échos aussi : redituraque Rupibus Echo. […] Vers 1828, l’école nouvelle perçait avec vivacité, avec ensemble ; la politique sous M. de Martignac faisait trêve. […] Avec les avantages et les richesses de l’école moderne, les défauts s’y marquent. […] Dès 1819, l’école nouvelle en poésie éclôt et s’essaye ; de grands noms se dessinent déjà. […] l’école poétique moderne a réussi.

26. (1855) Louis David, son école et son temps. Souvenirs pp. -447

De temps en temps, les jeunes gens de l’école de David se cotisaient pour offrir un modeste repas à leur maître. […] » C’est ainsi qu’il apostropha Granger, transfuge de l’école rivale de Regnault dans celle de David. […] après avoir gaspillé sa vie à Paris, a été fonder une école de dessin à la Havane, où il est mort malheureusement. […] Toutes les écoles tenues dans le Louvre s’en ressentirent, et celle de David la première. […] Élèves célèbres de David. — Écoles rivales. — 1805-1810.

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