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714. (1908) Esquisses et souvenirs pp. 7-341

On a de ce point la plus belle vue sur les bois et sur la mer. […] Pourtant, à leur vue, le cœur vous bat dans la poitrine, à cause de la grande ombre de Rome qui plane encore sur eux. […] Je prends mon plaisir dans la vue de la plaine si claire étendue, d’un chien gambadant, de quelque âne qui broute à côté dans un champ. […] Ils arrivent tout cassés, traînant la jambe, puis une fois sur la planche… changement à vue. […]   La beauté de l’olivier se sert à peine de notre vue pour ébranler notre âme.

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