Au lieu de cette opportunité du moins dans le malheur, il survécut obscurément, se fit perdre de vue durant plus de dix années sans donner signe de vie au public ni aux amis ; il se laissa devancer sur tous les points ; la mort même, on peut le dire, la mort dans sa rigueur tardive l’a trompé. […] Tes compagnes sur la colline T’ont vue hier seule à genoux, Ô toi qui n’es point orpheline Et qui ne priais pas pour nous ! […] Aussi, même en ces mois de courte intimité, nous le perdions souvent de vue ; il disparaissait, il s’évanouissait pour nous, pour tous, pour ses amis de Dijon, auxquels il ne pouvait plusse décider à écrire.