Le pamphlétaire, voilà l’essence et le suprême, et le vrai et le plein, de ce faux philosophe, qui sonne creux et même finit par ne plus sonner du tout. […] Mais il faut être vrai : on a confondu probablement avec la méchanceté, la rigueur absolue de l’homme d’idée. […] Absolument, le mot est faux, comme tout ce qu’a écrit ce vil menteur de Rousseau ; mais, relativement à Proudhon, le mot est vrai. […] Proudhon et Bonald, rapprochement étrange, n’est-il pas vrai ? […] Il est vrai que son temps était moins corrompu que le nôtre.