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383. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Agrippa d’Aubigné. — II. (Fin.) » pp. 330-342

Nous savons ce que c’est qu’être curieux en pareil cas par l’exemple de Froissart, qu’on a vu dans ses voyages s’attacher à tous ceux qu’il rencontre et qui peuvent lui apprendre quelque particularité sur les grands faits d’armes et les entreprises. […] D’Aubigné nous dit que Henri IV, dans le temps où il lui avait conseillé d’écrire cette Histoire, avait promis une somme raisonnable pour les voyages, pour la reconnaissance des lieux et des villes où s’étaient livrés les combats ; mais, les promesses étant demeurées sans effet, et après la mort de ce roi, ce fut à l’historien même à se pourvoir, à s’enquérir de toutes manières.

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