Pauline, qui devait avoir cinq ou six ans, était du voyage. […] Cela se voyait bien, à mon absence complète de dévotion… L’idée d’être Turque ne me blessait en rien ; j’étais même persuadée que j’avais été en Orient et je donnais, au sujet de ce voyage imaginaire, tous les détails que l’on voulait, et qui, par extraordinaire, étaient exacts. […] Dans un récent voyage, il avait fait un long trajet, la nuit, sur l’impériale d’une diligence, vêtu d’un pantalon et d’une veste de nankin ; il avait pris une fluxion de poitrine, dont il s’était mal guéri.