Ce qu’il importerait le plus d’éviter dans ce volume qui s’intitulerait Armand Carrel, ce serait la monotonie. […] On mettrait tout d’une suite dans ce volume les nombreux articles où il a parlé de Napoléon, son grand sujet favori et qui ne cessa de l’inspirer. […] Dans ce volume de Carrel, au premier rang, on n’aurait garde d’omettre une simple colonne qu’il a écrite sur Zumalacárregui, ce jeune et victorieux héros des provinces basques, enlevé au milieu de ses succès.