Ici finit le second volume, qui ne mérite le nom de Cosmos qu’à la fin, quand l’auteur se relève de la misérable contemplation littéraire des écrivains les plus modernes sur la vague nature à sa pensée astronomique, dont la grandeur grandit tout et le contemplateur lui-même. Le troisième volume recommence encore l’astronomie. […] D’immenses énumérations et considérations sur les volcans du globe, sortes d’embouchures de ses veines de feu, remplissent ce quatrième volume. […] J’oserais poser à ce philosophe une série de questions cosmiques dont ces quatre énormes volumes ne seraient que le premier chapitre. […] Lisez les trois volumes de M. de Humboldt, et demandez-vous de bonne foi ce que vous savez de plus qu’avant de les avoir lus.