L’Empereur lui disait : — Moi qui aimerais tant lire… Je n’ai pas le temps… Je suis accablé sous le faix des affaires, sous le poids des papiers… Devinez cependant ce que j’ai lu aujourd’hui… C’est ce volume qui était là, je ne sais comment, et qui m’est tombé sous la main : Madame de Pompadour, par… par… Mais comme c’est singulier, elle est fort laide dans le portrait qui est en tête de l’ouvrage… Est-ce qu’il y a un portrait d’elle ? […] Nous venons de lire les vingt volumes de l’Histoire de ma vie. […] Il nous parle de la difficulté de sa vie, du désir et du besoin qu’il aurait d’un éditeur l’achetant, pour six ans, 30 000 francs, et qui lui assurerait ainsi, chaque année, 6 000 francs : le pain pour lui et sa mère, — et par là lui donnerait la faculté de faire « l’Histoire d’une famille », un roman en huit volumes. […] Voir l’article de Zola sur Germinie Lacerteux, publié dans un journal de Lyon, et republié dans son volume intitulé : Mes haines.