Ce qui frappe le plus dans ce caractère, c’est le manque de volonté et d’esprit de suite. […] « Il aurait pu dire : « La raison prosaïque, la volonté tenace, le sens du réel, jamais ! […] On sent qu’il y a dans ses défauts plus d’abandon que d’impuissance, comme il y a dans ses beautés et ses grandeurs plus de fécondité naturelle que de volonté. […] La volonté et l’artifice se sentent. […] Le premier qui a dit : « Le fer s’enfonce dans l’arbre », racontait l’histoire fictive d’un personnage vivant, et doué de volonté qui d’une force active pénétrait dans un autre être.