Pour ne parler que de la dernière de ces grandes « synthèses », n’est-il pas évident qu’une Volonté n’est volonté qu’à la condition de trancher sur ce qui ne veut pas ? Comment alors l’esprit tranchera-t-il sur la matière, si la matière est elle-même volonté ? […] S’il n’y a pas finalité ou volonté, c’est qu’il y a mécanisme ; si le mécanisme fléchit, c’est au profit de la volonté, du caprice, de la finalité. […] Le point de rencontre de ces deux volontés est justement ce que nous appelons la matière. […] Supposez que nous y insérions notre volonté, et que cette volonté se dilatant, dilate notre vision des choses.