Cette maladie pourrit jusqu’au fond la sensibilité, la volonté et l’intelligence de Jean-Jacques Rousseau. […] En d’autres termes, il n’y a plus de volontés particulières. […] Si Rousseau, après avoir trop algébriquement défini la volonté générale, en prouvait l’existence en la montrant à l’œuvre ? […] Tout d’abord il entend la Volonté générale négativement, comme la répression de la tendance qu’ont toutes les volontés particulières il conquérir le plus de biens, de pouvoir possible. […] L’inspiré de la Volonté générale, c’est lui.