Pierre Servain oublie son bonheur, sa jeune femme, Claire, jolie assez et sans volonté, simple et toujours un peu étonnée, qui s’enfuit avec un quelconque rapin auréolé de gloire pseudo-militaire. […] Ce Pierre Servain est un faible qui passe à côté du bonheur, être sans volonté que guette la folle ; Claire est un petit oiseau sans cervelle, une médiocre intelligence et un bon cœur peut-être… Et tout cela est si vrai !