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948. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DISCOURS DE RÉCEPTION A L’ACADÉMIE FRANÇAISE, Prononcé le 27 février 1845, en venant prendre séance à la place de M. Casimir Delavigne. » pp. 169-192

Cette voix sensible et pénétrée, au moment où elle s’exhalait en de si gracieuses plaintes, était déjà consumée d’un mal mortel ; le doux chantre était atteint dans l’organe mélodieux. […] Tous ces souvenirs émus, reconnaissants, se rassemblaient ici une dernière fois, et montaient avec quelque chose de plus doux que la voix même de la gloire.

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