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544. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Auguste Barbier »

Il y avait bien eu Rouget de Lisle et La Marseillaise, ce canon de quatorze armées, mais La Marseillaise n’avait été que la voix de fer et de feu du patriotisme retentissant dans des vers mal faits, dont la musique était la seule poésie. […] Il eut tort, puisque le Pianto fut ce chant du cygne mourant qui doit emporter la voix et le cygne ; puisque après le Pianto son génie devait disparaître d’un coup, brusquement, presque avec effraction, absolument de la même manière qu’il s’était produit.

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