Il n’avait pas fait dix pas, lorsqu’il entendit derrière lui une voix perçante. […] » A table, on écoutait avec attention les mots prophétiques que laissait tomber la voix négligente d’Edmond de Goncourt. […] Sa langue est la première qui m’ait charmé par la voix maternelle ». […] Sa langue est la première qui m’ait charmé par la voix maternelle ». […] Sa voix grêle et sans colère contrastait comiquement avec les vitupérations de cet athéisme global.