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477. (1924) Souvenirs de la vie littéraire. Nouvelle édition augmentée d’une préface-réponse

Il n’avait pas fait dix pas, lorsqu’il entendit derrière lui une voix perçante. […] »‌ A table, on écoutait avec attention les mots prophétiques que laissait tomber la voix négligente d’Edmond de Goncourt. […] Sa langue est la première qui m’ait charmé par la voix maternelle ». […] Sa langue est la première qui m’ait charmé par la voix maternelle ». […] Sa voix grêle et sans colère contrastait comiquement avec les vitupérations de cet athéisme global.

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