La voix de Baudelaire est si étrangement pathétique, qu’elle semble ajouter à la parole humaine des vibrations venues de l’au-delà. […] mêle ta voix à la mienne ! […] doux, attentifs, austères, Tous vos échos s’ouvraient si bien à notre voix ! […] Puisque la nature fait entendre sa propre voix, et que cette voix n’est pas d’accord avec les appels, les plaintes, et les sanglots des hommes, il la renie. […] Évanoui, il entend des voix qui racontent son histoire, et qui disent que son expiation n’est pas finie.