/ 1953
244. (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Ferdinand Fabre »

Dans le chapitre La Voix du crucifix, il y a la même indécision que dans le mouvement de ces mains, impuissamment violatrices de la mort et du cercueil. Le surnaturel d’une voix sortant d’un crucifix a épouvanté le moderne dans Fabre, qui, avec plus de foi ou plus d’imagination peut-être, n’eût pas été épouvanté. […] Il donnerait sa voix, s’il faisait partie du conclave, à son candidat à la Papauté, et il aurait raison de la lui donner.

/ 1953