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209. (1895) Les confessions littéraires : le vers libre et les poètes. Figaro pp. 101-162

(Mais une voix d’or tintinnabule ; c’est la Muse des Poètes qui s’éjouit.) […] le son de la voix câline, Comme une caresse féline, Qui chante, pleure et pateline, Ta voix qui me berce et m’endort ! Ta voix qui m’enveloppe douce. Douce ainsi qu’une chatte rousse, Roulant mon cœur sur de la mousse, Ta voix molle de cloche d’or. […] le son de ta voix câline Le crépuscule de ta voix !

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