(Mais une voix d’or tintinnabule ; c’est la Muse des Poètes qui s’éjouit.) […] le son de la voix câline, Comme une caresse féline, Qui chante, pleure et pateline, Ta voix qui me berce et m’endort ! Ta voix qui m’enveloppe douce. Douce ainsi qu’une chatte rousse, Roulant mon cœur sur de la mousse, Ta voix molle de cloche d’or. […] le son de ta voix câline Le crépuscule de ta voix !