Qu’on lise par hasard, aux pandectes du ciel, Que, le temps étant mort, la voix de l’Éternel Doit, dans un coin obscur de l’obscure Judée, Traduire en jugement la terre décédée !
Qu’on lise par hasard, aux pandectes du ciel, Que, le temps étant mort, la voix de l’Éternel Doit, dans un coin obscur de l’obscure Judée, Traduire en jugement la terre décédée !