Que le peuple romain n’ait qu’une voix, qu’une âme ! […] « De cette même main que je désirai tant tenir dans les miennes elle m’essuie les yeux, et le son de sa voix, et ses douces exhortations m’apportent des douceurs à l’âme qu’aucun homme mortel n’a jamais senties ! […] J’avais déjà appris par la voix publique le passage heureux de notre maître de la Babylone terrestre à la céleste Jérusalem.