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907. (1880) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Première série pp. 1-336

Ajoutez que les personnages ne vivent pas. […] Pour ordonner les Pensées méthodiquement, il faudrait avoir vécu dans l’intimité des méditations de Pascal ; mais, justement, nous n’y pouvons vivre que par le secours des Pensées. […] Aux environs d’Angoulême, en ce temps-là, vivait une dame Sarah de Peyrusse, fille du comte d’Escars et femme du comte de Baignac. […] Souvenons-nous qu’ils ont vécu, et vécu comme tout le monde, qu’ils ont combattu surtout, quelques-uns même, comme Racine et comme Molière, jusqu’à succomber dans la lutte. […] J’entends par peuple la populace qui n’a que ses bras pour vivre.

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