Comment y vécut-il ? […] En attendant « que la Nature soit bien bonne », il voudrait « vivre monotone ». […] Mais du Plessys, habile à mener les muses grecques vers les rives de la Seine et du Loir, aux sons de ses romanes chansons, ne craindra pas ces hostilités vaines « et saura mourir ainsi qu’il sait vivre ! […] Au village, il n’y a plus rien, on ne peut plus vivre. […] Et le souvenir, dans l’âme du dormeur, se précise, et le pas de ceux qui vivent sonne dans sa mémoire.