J’entrai demander le vivre et le couvert, et fus bien reçu. » C’est tout. […] Mais il faut vivre. […] Bientôt, mieux instruit par le malheur, je le trouvai douteux lui-même, et je connus qu’il était indifférent de vivre ou de ne vivre pas. […] Il n’a pas le sou, il emprunte pour vivre, mais il déborde d’espérance. […] Et il faut dire qu’il a vécu dans les meilleures conditions pour la conquérir.