On ne pense plus à s’amuser des jeux d’esprit du grand écrivain quand il dit : « Il faut vivre. […] À nous d’en tirer le meilleur parti possible… » Et encore : « Nous ne vivons qu’une fois. […] La vicomtesse ne peut s’accoutumer à Paris, au ton de la société dans laquelle il lui faut vivre. […] À quelle heure a-t-il trouvé le loisir de vivre ? […] Elle s’imaginait vivre avec des bêtes.