Je vivais avec ces jeunes gens en parfaite intelligence, et le précepteur ne me causait jamais, non plus qu’à eux, le moindre déplaisir. […] Ce nœud sacré d’une franche amitié était, et il est toujours, dans ma manière de penser et de vivre, un besoin de première nécessité. […] Jacques III, après ses revers et sa fuite en Écosse, vivait à Rome, traité en roi par le pape. […] On y sait vivre plus que dans aucun couvent de Rome. […] Je sentis véritablement alors et dans le fond de l’âme que sans elle je ne vivais qu’à moitié.