Puis donc que j’ai besoin de manger comme une bête, je dois fournir le labeur de bête de somme qui, seul, peut nourrir mon corps et permettre au dieu qui pleure en moi de vivre, de penser, d’aimer. […] Tu vivras de ta beauté comme d’autres vivent de leur force. […] Romancier, dresse des personnages qui vivent de toi et qui t’intéressent. […] Ne nous tuons pas sous prétexte qu’« il faut vivre ».