Il aime la mort, le repos éternel, l’extinction et le néant du sage de l’Inde : Le mal est de trop vivre, et la mort est meilleure. C’est là son fin mot : il est le contraire de ces natures affamées de vivre et de renaître sans cesse, altérées d’immortalité, et dont Mme de Gasparin nous offre un type ardent et palpitant dans la fréquence et la récidive de ses éloquents écrits.