L’Amiral de Joyeuse lui donna pour un Sonnet l’Abbaye de Tiron, qui rapportoit alors trente mille livres ; ce qui doit faire penser que Desportes vécut au siecle d’or de la Poésie.
L’Amiral de Joyeuse lui donna pour un Sonnet l’Abbaye de Tiron, qui rapportoit alors trente mille livres ; ce qui doit faire penser que Desportes vécut au siecle d’or de la Poésie.